La 2e édition du Festival international Baoulé d’Abidjan (FESTIBA) se déroulera du 1er au 03 mars prochain au terrain Konan Raphaël de Marcory SICOGI autour du thème : « Culture et entrepreneuriat ».
L’information a été donnée, lors d’une conférence de presse, le lundi 29 janvier 2024 dans les locaux d’une entreprise à Abidjan-Marcory. Cet événement majeur bénéficie du soutien du ministère de la Culture et de la francophonie, du ministère du Tourisme, de l’UNESCO, de la Mairie de Marcory, de nombreux partenaires et des cadres du grand Centre.
Aimé-Patrice Ndja, commissaire général, a affirmé que le FESTIBA est le plus grand événement de rassemblement de 21 sous-groupes Baoulé à Abidjan. « Il se tient en début d'année et avant la Pâques pour permettre aux festivaliers de se souhaiter les vœux de nouvel an et de s'entraîner pour "paquinou". C'est une tribune offerte à toutes les mutuelles et associations de développement du grand Centre », a-t-il dit.
A l’en croire, le FESTIBA permet à chaque sous-groupe Baoulé d'exprimer sa particularité. « C’est une fois de plus la richesse de la diversité culturelle du peuple baoulé qui est ainsi démontrée. Le FESTIBA se tient autour des valeurs de solidarité, de tolérance et d'excellence avec tous les peuples frères et amis de la Côte d'Ivoire (…)
La culture se fond avec l'actualité, c'est pourquoi, ce sera l'occasion d'annoncer à toute la presse que la particularité de cette deuxième édition du FESTIBA sera la distinction des acteurs du succès de l'organisation de la Can de l’hospitalité », a déclaré Aimé-Patrice Ndja. Poursuivant, il a indiqué que le thème du Festival fera l'objet d'une conférence-débat, animée par des experts afin d'instruire et outiller notre jeunesse.
« Une parade des 21 sous-groupes Baoulé, des démonstrations de danses traditionnelles, une exposition de tenues traditionnelles et d'œuvres d'art, des jeux et sports traditionnels, un concours d'art oratoire, des maquis géants et des concerts de musiques tradi-moderne et moderne meubleront cette seconde édition », a soutenu le commissaire général.
DRC
