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Présent pour la première fois au Salon international de l’agriculture de Paris (SIA) qui se tient du 22 février au 2 mars 2025, le Conseil du coton et de l’anacarde (CCA) le Régulateur du secteur dirigé depuis juillet 2024 par Mamadou Berté, affiche les ambitions et le potentiel sous exploité de ces deux produits en Côte d’Ivoire.
De sources proches du Conseil, le CCA entend être l’une des vitrine de ce salon et du pavillon Côte d’Ivoire qui ne cesse d’attirer investisseurs et visiteurs de marque, à la recherche de nouveaux partenaires.
En outre, cette présence au SIA 2025 pour le CCA n’est qu’un étape dans le programme ambitieux que compte déployer la direction générale pour redorer le blason d’une filière qui transformera d’ici 2030, environ 50% de la production nationale de cajou grâce aux actions déjà initiées en quelques mois par Mamadou Berté qui était présent du 21 au 23 février, à Dubai pour participer à la Words cashew conference, où il a été distingué pour son leadership et son management.
En effet, trois 3 nouvelles zones industrielles ont été développées et vont être aménagées pour servir de bassin industriel pour les entreprises qui veulent investir dans l’anacarde et le coton. L’industrialisation de la filière est la priorité du gouvernement et la nouvelle direction du CCA entant en faire une réalité en attirant grâce à une stratégie ambitieuse, tous les potentiels investisseurs.
À cet effet, le CCA organise le 27 février, en marge du SIA 2025, un panel afin d’inviter et inciter la diaspora ivoirienne à participer au développement du secteur cajou et coton.
Pour le directeur général du CCA, la nouvelle vision des autorités ivoiriennes est de promouvoir des champions nationaux dans tous les domaines de notre économie et le CCA entend jouer pleinement son rôle en accordant une place de choix aux ivoiriens.
Le CCA et son directeur général se tiendront aux côtés des entreprises ivoiriennes, des investisseurs ivoiriens pour en faire les créateurs de valeurs et de richesses dans le secteur cajou et coton.
Le cajou et le coton sont aujourd’hui des produits qui retrouvent leur place de choix dans l’économie ivoirienne et montrent les atouts dont regorge l’agriculture ivoirienne pour faire de la Côte d’Ivoire un modèle économique et agricole pour la sous région mais aussi pour l’Afrique.
Déjà le prix de 425 fcfa/kgs de noix brute de cajou payé cette année aux producteurs et totalement respecté sur le terrain, est le signe de la bonne connaissance du secteur par le nouveau directeur général et de sa nouvelle équipe au CCA, qui montre que la filière dispose d’un potentiel énorme et de nombreux atouts qui étaient jusqu’ici sous exploités et sous évalués.
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