Deux temps forts ont illustré la journée d’hier, lors du cérémonial du Vendredi saint. Il s’agit du Chemin de croix et de la célébration de la Passion. Celle-ci comporte trois parties. A savoir : La liturgie de la parole, la Vénération de la croix et la Sainte communion. Hier, l’Eglise Notre Dame d’Afrique de Biétry, dans la commune de Marcory, à l’instar des autres paroisses catholiques, a célébré le Vendredi saint. Le Grand chemin de croix qui a eu lieu sur le terrain de cette église, a permis, lors des 14 stations, de revivre, à travers une mimique, la souffrance du Christ, sa mort et sa mise au tombeau. Après la célébration de la Passion du Christ, deux lectures tirées du Livre d’Isaïe et de la Lettre de Saint Paul Apôtre aux Hébreux, Pascal Seka, le Père curé de Notre Dame d’Afrique de Biétry, dans son homélie, a indiqué que Jésus-Christ, mort crucifié sur une croix, est le signe de l’Amour. L’Amour infini de Dieu qui est ‘‘mort en Jésus-Christ’’. Et qui a donné sa vie pour nous sauver. « Le récit de la Passion du Christ est la Passion de l’homme, d’un homme abandonné, trahi. Un chemin révoltant où apparemment Dieu se tait. La Croix, ce n’est pas celle qui est abusivement utilisée mais plutôt celle de la souffrance de l’homme. Mais ce n’est pas cette souffrance que nous célébrons. C’est l’Amour de Jésus, l’Amour du cœur de Dieu.
Cette croix est unique », a indiqué le Père curé. Qui a demandé aux hommes de prendre pour modèle le Christ dont la vie a été de servir l’autre. « La meilleure manière de porter sa croix c’est d’aider tous ceux qui sont asservis. Le mystère de la croix, c’est le mystère de l’Amour », a souligné le Père Seka.
JEA
Cette croix est unique », a indiqué le Père curé. Qui a demandé aux hommes de prendre pour modèle le Christ dont la vie a été de servir l’autre. « La meilleure manière de porter sa croix c’est d’aider tous ceux qui sont asservis. Le mystère de la croix, c’est le mystère de l’Amour », a souligné le Père Seka.
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