La Côte d'Ivoire compte quelque 1.500 réfugiés libériens sur son territoire, a appris Xinhua jeudi de source humanitaire.
"Le nombre de réfugiés libériens s'est considérablement réduit passant de plus de 400.000 au début des années 90 à environ 1.500 à ce jour", a noté le chef du bureau du Service d'aide et d'assistance aux réfugiés et apatrides (SAARA) de Tabou (sud-ouest) Sylvestre Kpan Lansson lors d'un atelier de renforcement des capacités.
Selon M. Lansson, ce nombre, "relativement réduit", constitue un défi à relever dans la mesure où il s'agira de rendre leur protection et leur assistance des plus efficaces possibles.
"L'État de Côte d'Ivoire dans le souci de traiter les réfugiés dans les meilleures conditions, reste fidèle à sa tradition de pays hospitalier qui accueille toujours des personnes en détresse originaires d'une trentaine de pays", a-t-il rassuré.
Il a expliqué l'opportunité de renforcer les capacités des forces de sécurité, des acteurs du système sanitaire, des enseignants et des autorités locales sur la "protection internationale du réfugié", en vue de les amener à mieux comprendre les questions relatives à la gestion des réfugiés.
Le gouvernement ivoirien et ses partenaires humanitaires multiplient les initiatives pour une amélioration des conditions des réfugiés vivant sur le sol ivoirien.
La Côte d'Ivoire a accueilli plusieurs milliers de réfugiés au plus fort des conflits dans des pays limitrophes.
Après plus de vingt ans de présence en Côte d'Ivoire, de nombreux réfugiés libériens ont pour la plupart pu regagner leur pays, "rassurés par la normalisation", grâce aux opérations de rapatriement et d'assistance du Haut Commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR) et du SAARA.
"Le nombre de réfugiés libériens s'est considérablement réduit passant de plus de 400.000 au début des années 90 à environ 1.500 à ce jour", a noté le chef du bureau du Service d'aide et d'assistance aux réfugiés et apatrides (SAARA) de Tabou (sud-ouest) Sylvestre Kpan Lansson lors d'un atelier de renforcement des capacités.
Selon M. Lansson, ce nombre, "relativement réduit", constitue un défi à relever dans la mesure où il s'agira de rendre leur protection et leur assistance des plus efficaces possibles.
"L'État de Côte d'Ivoire dans le souci de traiter les réfugiés dans les meilleures conditions, reste fidèle à sa tradition de pays hospitalier qui accueille toujours des personnes en détresse originaires d'une trentaine de pays", a-t-il rassuré.
Il a expliqué l'opportunité de renforcer les capacités des forces de sécurité, des acteurs du système sanitaire, des enseignants et des autorités locales sur la "protection internationale du réfugié", en vue de les amener à mieux comprendre les questions relatives à la gestion des réfugiés.
Le gouvernement ivoirien et ses partenaires humanitaires multiplient les initiatives pour une amélioration des conditions des réfugiés vivant sur le sol ivoirien.
La Côte d'Ivoire a accueilli plusieurs milliers de réfugiés au plus fort des conflits dans des pays limitrophes.
Après plus de vingt ans de présence en Côte d'Ivoire, de nombreux réfugiés libériens ont pour la plupart pu regagner leur pays, "rassurés par la normalisation", grâce aux opérations de rapatriement et d'assistance du Haut Commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR) et du SAARA.