En prélude à la journée internationale de la Femme, le 8 mars 2018, il est nécessaire de souligner l’importance que revêt la Femme, conséquemment, la question du Genre (qui n’est pas à assimiler à la situation socioprofessionnelle de la femme), dans la politique de développement local de l’Elu municipal de Treichville. A cet égard, il est juste et bon de reconnaître, que loin des sentiers battus, le Ministre François Albert Amichia, Maire de la Commune de Treichville est parvenu à faire d’une préoccupation internationale, une réalité locale.
Et pour cause, le Premier Magistrat de la Cité n’zassa a su mettre en pratique la question du genre au sein de la Mairie sans tomber dans un snobisme quelconque. Pour lui, on peut le dire, le genre ne consiste pas à faire du favoritisme encore moins à accorder une pitance au sexe faible. En d’autres termes, le Maire Amichia voit dans la question du genre le mérite, rien que le mérite. Ce qui veut dire : « les personnes qu’il faut, aux places qu’il faut ». C’est dans cette optique qu’il y a eu la nomination de huit (8) Sous-directrices et de vingt (20) Chefs de service disséminées dans les cinq (5) Directions de la Mairie. Les critères ont été, entre autres, le profil, les niveaux requis et la compétence. Ces femmes distinguées pour leur rigueur à la tâche donnent entière satisfaction. Il y a, aussi, la mise en avant de l’égalité,
qui prime chez le Maire de Treichville. La notion d’égalité ne consiste pas ici à agir dans le sens d’une classification, qui voudrait signifier un équilibre dans la mesure où il n’y a pas eu assez de postes attribués à un sexe. Cette démarche du Ministre François Albert Amichia tient au fait qu’il n’entend pas instaurer le moindre complexe d’infériorité et un semblant d’équilibre, qui ne tiendrait qu’au sentimentalisme. En cela, c’est le sens de l’équité, qui fonde la question du genre chez Amichia. Cette politique convainc plus d’un sceptique. Vive, donc, la pratique du genre dans toute sa réalité à la Mairie de Treichville.
ALLBERT ABALE
Et pour cause, le Premier Magistrat de la Cité n’zassa a su mettre en pratique la question du genre au sein de la Mairie sans tomber dans un snobisme quelconque. Pour lui, on peut le dire, le genre ne consiste pas à faire du favoritisme encore moins à accorder une pitance au sexe faible. En d’autres termes, le Maire Amichia voit dans la question du genre le mérite, rien que le mérite. Ce qui veut dire : « les personnes qu’il faut, aux places qu’il faut ». C’est dans cette optique qu’il y a eu la nomination de huit (8) Sous-directrices et de vingt (20) Chefs de service disséminées dans les cinq (5) Directions de la Mairie. Les critères ont été, entre autres, le profil, les niveaux requis et la compétence. Ces femmes distinguées pour leur rigueur à la tâche donnent entière satisfaction. Il y a, aussi, la mise en avant de l’égalité,
qui prime chez le Maire de Treichville. La notion d’égalité ne consiste pas ici à agir dans le sens d’une classification, qui voudrait signifier un équilibre dans la mesure où il n’y a pas eu assez de postes attribués à un sexe. Cette démarche du Ministre François Albert Amichia tient au fait qu’il n’entend pas instaurer le moindre complexe d’infériorité et un semblant d’équilibre, qui ne tiendrait qu’au sentimentalisme. En cela, c’est le sens de l’équité, qui fonde la question du genre chez Amichia. Cette politique convainc plus d’un sceptique. Vive, donc, la pratique du genre dans toute sa réalité à la Mairie de Treichville.
ALLBERT ABALE