Aboisso - La ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Prof Bakayoko-Ly Ramata a volé au secours de neuf mineurs en provenance du Burkina Faso, des victimes du phénomène de trafic d’enfants recueillies par le Gouvernement ivoirien après la mise aux arrêts du trafiquant, fin novembre à Aboisso.
« Je suis venu ce matin à Assouba, dans le département d’Aboisso, au nom du Gouvernement, pour porter secours et assistance à neufs enfants mineurs d’origine burkinabé, victimes de trafiquants véreux », a déclaré la ministre. Elle a ajouté que la place des enfants est à l’école et qu’il ne faut pas leur voler leur enfance.
Mme Bakayoko a tenu à féliciter les forces de l’ordre dont la vigilance et l’efficacité a permis de sauver la vie de ces enfants. Elle a offert la somme d’un million de Francs CFA pour leur prise en charge, en attendant leur insertion dans un centre d’accueil pour enfants à Soubré.
L’ambassadeur du Burkina Faso en Côte d’Ivoire, Zongo Mahamadou a condamné les auteurs de ce trafic. Il a promis de tout mettre en œuvre pour le rapatriement des neufs enfants dont la province d’origine est déjà connue.
Des structures internationales telles l’UNICEF, l’Organisation internationale pour la migration (OIM), entre autres, ont tenu à apporter leur soutien à ces enfants.
Ces neuf enfants sont venus du Burkina Faso convoyés par un trafiquant, Sawadogo Karim. Ils avaient déjà travaillé dans une mine d’or à Bafia, dans le département d’Aboisso (Sud ivoirien). Sawadogo Karim était en partance avec eux pour la mine d’or d’Angovia (département de Bouaflé, Centre-Ouest), lorsque la gendarmerie d’Aboisso les a arrêtés lors d’un contrôle de routine, le 23 novembre.
Sawadogo Karim a été jugé et condamné à trois ans de prison ferme. Quant aux neuf enfants, ils ont été placés dans une famille d’accueil à Assouba.
(AIP)
akn/cmas
« Je suis venu ce matin à Assouba, dans le département d’Aboisso, au nom du Gouvernement, pour porter secours et assistance à neufs enfants mineurs d’origine burkinabé, victimes de trafiquants véreux », a déclaré la ministre. Elle a ajouté que la place des enfants est à l’école et qu’il ne faut pas leur voler leur enfance.
Mme Bakayoko a tenu à féliciter les forces de l’ordre dont la vigilance et l’efficacité a permis de sauver la vie de ces enfants. Elle a offert la somme d’un million de Francs CFA pour leur prise en charge, en attendant leur insertion dans un centre d’accueil pour enfants à Soubré.
L’ambassadeur du Burkina Faso en Côte d’Ivoire, Zongo Mahamadou a condamné les auteurs de ce trafic. Il a promis de tout mettre en œuvre pour le rapatriement des neufs enfants dont la province d’origine est déjà connue.
Des structures internationales telles l’UNICEF, l’Organisation internationale pour la migration (OIM), entre autres, ont tenu à apporter leur soutien à ces enfants.
Ces neuf enfants sont venus du Burkina Faso convoyés par un trafiquant, Sawadogo Karim. Ils avaient déjà travaillé dans une mine d’or à Bafia, dans le département d’Aboisso (Sud ivoirien). Sawadogo Karim était en partance avec eux pour la mine d’or d’Angovia (département de Bouaflé, Centre-Ouest), lorsque la gendarmerie d’Aboisso les a arrêtés lors d’un contrôle de routine, le 23 novembre.
Sawadogo Karim a été jugé et condamné à trois ans de prison ferme. Quant aux neuf enfants, ils ont été placés dans une famille d’accueil à Assouba.
(AIP)
akn/cmas