Abidjan – Le président du Rassemblement des républicains (RJR), Dah Sansan, a déploré, jeudi, les actes de violences observés à la faveur des liesses provoquées mi-décembre dans des quartiers d’Abidjan, suite à des rumeurs de libération de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé par la Cour pénale internationale (CPI).
Lors d’un déjeuner de presse, jeudi, à l’hôtel Ibis Plateau, Dah Sansan a décrié les cas de violences constatées à Yopougon après « la folle rumeur distillée" par certaines personnes sur les réseaux sociaux.
Selon le président du RJR, des barrages érigés par des jeunes dans les quartiers de Sicogi et de Gesco à Yopougon, et des cas de violences exercées sur des particuliers doivent interpeller la CPI. « Ces attitudes sont contraires à l’esprit de réconciliation, dans la mesure où elles ont eu de graves conséquences dommageables sur l’ordre public et la tranquillité des Ivoiriens », a-t-il stigmatisé.
Pour lui, la CPI doit mieux examiner sa décision sur la demande de mise en liberté provisoire demandée par les conseils de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé.
« Si la CPI veut la paix en Côte d’Ivoire, elle doit tirer toutes les conséquences de tous ses actes", a-t-il souhaité, affirmant qu’une éventuelle libération de Laurent Gbagbo et Blé Goudé pourrait "aggraver la quiétude des Ivoiriens".
nmfa/tm
Lors d’un déjeuner de presse, jeudi, à l’hôtel Ibis Plateau, Dah Sansan a décrié les cas de violences constatées à Yopougon après « la folle rumeur distillée" par certaines personnes sur les réseaux sociaux.
Selon le président du RJR, des barrages érigés par des jeunes dans les quartiers de Sicogi et de Gesco à Yopougon, et des cas de violences exercées sur des particuliers doivent interpeller la CPI. « Ces attitudes sont contraires à l’esprit de réconciliation, dans la mesure où elles ont eu de graves conséquences dommageables sur l’ordre public et la tranquillité des Ivoiriens », a-t-il stigmatisé.
Pour lui, la CPI doit mieux examiner sa décision sur la demande de mise en liberté provisoire demandée par les conseils de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé.
« Si la CPI veut la paix en Côte d’Ivoire, elle doit tirer toutes les conséquences de tous ses actes", a-t-il souhaité, affirmant qu’une éventuelle libération de Laurent Gbagbo et Blé Goudé pourrait "aggraver la quiétude des Ivoiriens".
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