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Politique Publié le vendredi 20 septembre 2019 | L’Essor Ivoirien

Présidentielle 2020/ Après le meeting du 14 septembre 2019 : Voici le plan secret de l’opposition contre Ouattara,Le complot ‘’éventé’’ par des sachants a donc échoué

Que réserve l’opposition significative en Côte d’Ivoire pour le régime RHDP lors de la présidentielle d’Octobre 2020 ? ‘’L’Essor Ivoirien’’ a ‘’infiltré’’ le meeting du 14 septembre 2019 au Parc des Sports, co-animé par le PDCI-RDA et le FPI. Voici ce qui ressort du plan secret de l’opposition ivoirienne pour la présidentielle prochaine.

Convaincue de nos jours qu’elle ne pourra pas remporter la présidentielle d’Octobre 2020 en Côte d’Ivoire, l’opposition aurait en tête un plan B, en vue de ‘’bouter’’ hors du pouvoir le régime Ouattara. Cette information aurait été frappée du sceau de la confidentialité et tenue hautement secrète. Mais c’était sans compter avec la vision d’autres Ivoiriens, soucieux de la préservation du climat de paix et de stabilité retrouvé après la longue crise postélectorale de 2010-2011. Plus jamais ça, se disent des hommes et des femmes épris de paix. De ‘’vrais patriotes’’ qui militent au sein de l’opposition ivoirienne pour des raisons qui leur sont propres. Comment cette opposition entend-elle dérouler ce plan secret ? Tout aurait été déjà déclenché avec cette bataille juridique avec le rejet de la nouvelle CEI et la saisine de la Cour africaine des droits de l’Homme et des Peuples.

La bataille juridique à la Cour africaine pour prendre à témoin la communauté internationale ?

C’est une lapalissade. Les Ivoiriens sont suffisamment informés de nos jours que l’opposition ivoirienne s’est empressée de saisir la Cour africaine des droits de l’Homme et des Peuples pour rejeter la nouvelle loi sur la CEI, votée à une large majorité par l’Assemblée nationale, ensuite le sénat et promulguée le 6 Août 2019 par le président de la République. Cet empressement cachait un plan B contre le régime d’Abidjan. Prendre rapidement la communauté internationale à témoin quant aux évènements qu’elle voudrait mener en Octobre 2020, si elle n’est pas déclarée vainqueur ! Un rêve bien irréalisable puisqu’elle ne fera pas le poids devant la ‘’grosse machine électorale’’ du RHDP qui leur trouble déjà le sommeil. Elle s’en servira demain quand le moment sera venu de cette saisine pour ‘’descendre dans la rue’’ et réclamer le départ de ce pouvoir pour son ‘’passage en force’’, quant à ces joutes électorales. Le rejet de la nouvelle loi sur la Commission électorale indépendante (CEI), entre donc dans le plan de conquête du pouvoir d’état par la rue et non les urnes en 2020.

Contester les résultats de la présidentielle et créer une autre crise postélectorale ?

Après le rejet de cette nouvelle loi et la saisine de la Cour africaine, l’autre volet de leur plan secret, sera de refuser le verdict des urnes, c'est-à-dire les résultats de cette élection pour faire valoir la force de la rue contre la vérité des urnes. L’opposition ivoirienne avance à pas feutrés et déroule de manière subtile son plan pour donc contester demain les résultats des urnes. Elle serait en train de placer étape après étape, les pièces du puzzle. Ils sont donc sereins et croiraient que c’est de cette manière que ces opposants, bien inconnus sur le terrain et sans programme de gouvernement et projet de société pour leurs concitoyens, pourront mettre sous le boisseau la ‘’sanction’’ du peuple ivoirien contre ces ‘’aventuriers politiques’’, grands ‘’vendeurs d’illusions’’ aux populations de ce pays. Ce complot ‘’éventé’’, ce sous-marinage ‘’dévoilé’’ par les réalistes, les lucides et amoureux de leur patrie, leur coup, avouons-le, a déjà foiré. Le régime Ouattara dispose d’un grand service de ‘’balayage’’ radar de toute la Côte d’Ivoire et disons que les grandes oreilles de la République veillent strictement au grain, de jour comme de nuit.

Les grands raisons de la rupture de Pascal Affi N’Guessan et Alcide Djédjé avec cette ‘’opposition abonnée’’ à la ‘’sorcellerie politique’’.

Deux leaders politiques bien instruits, certainement, du plan machiavélique de cette opposition, auraient très tôt pris leurs distances : Pascal Affi N’Guessan (FPI) et Alcide Djédjé (CONCORDE). Ils auraient refusé de manger de ce ‘’pain’’ de la haine, de la division et de la chienlit. Ces deux Chefs de partis politiques connaîtraient parfaitement le prix de la paix, et ne seraient pas prêts à se faire complices d’une opposition radicale, extrémiste, en quête du pouvoir d’état par des ‘’violences politiques’’ en 2020. On comprend aisément pourquoi ces deux leaders politiques sont farouchement combattus aujourd’hui par leurs pairs. Disons-le tout net, ils ont fait le choix de la paix et de la stabilité. Pour preuve, le président de la formation politique (CONCORDE), le ministre Alcide Djédjé a déjà signé l’entrée ou l’adhésion de son parti au RHDP. Le Premier ministre Pascal Affi N’Guessan est en train de frapper à la porte du Parti Unifié depuis quelques jours. Et cela ne va pas tarder, le FPI viendra grossir ces jours-ci, le rang des familles politiques ayant fait le choix de la défense et la préservation de la paix, ce préalable à tout développement. Pour avoir tourné le dos à la démangeaison de la revanche, vengeance et la division des fils et filles de ce pays, Pascal Affi N’Guessan et Alcide Djédjé sont affublés de nos jours d’un qualificatif ‘’déshonorant’’ : ‘’les Judas’’ ou encore ‘’les traîtres.’’ La danse des sorcières’’ autour de la mère patrie ne passera pas par eux, se sont-ils dits pour se démarquer de cette opposition négative et nuisible. Que vise-t-on au sein de cette opposition friande de crise postélectorale pour obtenir ce qu’elle n’a pas gagné par le suffrage du peuple ? Voici où ils veulent en venir en Octobre 2020.

Objectif recherché : voir Ouattara à la CPI ?

Dans le déroulement de leur plan B, l’objectif visé est aujourd’hui su de milliers et milliers d’Ivoiriens. Cette opposition rechercherait, in fine, le transfèrement du président Alassane Ouattara à la CPI. Une soif de revanche et de vengeance qui ne sera étanchée que par cette déportation, se sont-ils fait passer le mot. Ce secret jalousement gardé est de nos jours ‘’dévoilé, éventé’’ et rien ne garantit demain le succès de cette opération, parce que ce pouvoir ne se laissera pas ‘’cueillir’’ comme un fruit mûr. Ce qui est mis à nu ou dévoilé est déjà voué à l’échec. L’opposition ivoirienne ne mènera pas demain ce pouvoir à l’abattoir comme un agneau. Car il trouvera les ressources nécessaires pour déjouer, tous les ‘’coups tordus’’ de cette opposition abonnée au désordre et qui se comporte ‘’comme un chien qui ne change pas sa manière de s’asseoir’’ ou de faire la politique.
Il faut donc désespérer de cette opposition radicale, rongée de nos jours, par une soif inextinguible de ‘’revanche et de vengeance’’ aveugle contre le pouvoir. La politique, ce n’est pas la haine de l’autre, ce n’est pas non plus ‘’ôte-toi de là pour que je m’asseye,’’ mais plutôt aller à la conquête du suffrage du peuple par les urnes. Et vivement que la communauté internationale ne l’accompagne pas dans le déroulement de son plan caché contre ce pays et aussi qu’il y ait une désolidarisation en masse des Ivoiriens contre de telles projections s’ils aiment la Côte d’Ivoire, une, indivisible et débarrassée ‘’de tous les mauvais sentiments’’ dont parlait de son vivant, le père de l’indépendance, Félix Houphouët-Boigny. Barrons donc la route aux ennemis de ce pays par notre refus de les suivre dans leurs dérives comportementales.

Igor Wawayou.
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