Abengourou-Le ministre de la modernisation et de l’administration et de l’innovation du service public Roger Adom, a initié une campagne de sensibilisation dans les villages d’Abengourou (210 km à l'Est région de l'Indénié-Djuablin), au cours de laquelle il a invité samedi 28 novembre 2020 les populations à bannir la haine et la vengeance pour fumer ensemble le calumet de la paix.
« Aucun pays ne s’est construit sur la haine et la vengeance », a fait remarquer le ministre Roger Adom qui a demandé aux populations de « conscientiser » leurs enfants et proches pour une paix définitive et à s’ouvrir à leurs frères et sœurs, pour éviter les crises qui ont secoué la Côte d’Ivoire et la cité royale a répété l’émissaire du gouvernement lors des étapes d’Aniassué (22 km d’Abengourou) de Kodjina (5 km) et d’Abengourou.
La région de l’Indénié-Djuablin a connu des affrontements communautaires qui ont fait deux victimes décédées lors de la présidentielle du 31 octobre 2020.
« Avec Alassane Ouattara, il n’y a pas de communauté il y a la Côte d’Ivoire, a rappelé le ministre Roger Adom avant de souligner que « le président Ouattara n’a rien ne fait ni appelé quelqu’un contre les Ivoiriens », a insisté le ministre Roger Adom recevant successivement les chefs traditionnels, l’association des jeunes et de femmes et les représentants des communautés ethniques vivant à Abengourou.
Le ministre Roger Adom a demandé aux populations de maintenir leur confiance au président de la République Alassane Ouattara qui leur garantit la paix et la sécurité et une vie améliorée.
« Mais nous avons besoin de la paix, de la stabilité et de votre soutien pour qu’avec les moyens de l’État, on puisse construire le pays. Une Côte d’Ivoire meilleure prospère, solidaire, où il n'y pas de différence ni de fracture territoriale », a fait savoir ministre.
Roger Adom a encouragé particulièrement les populations d'Abengourou à œuvrer pour que pour la paix et la cohésion soient maintenues, et à faire en sorte que le nom originel d'Abengourou, « Mpèkro » qui veut dire « je n'aime pas les palabres », soit une réalité dans le royaume de l’Indénié.
nam/tm
« Aucun pays ne s’est construit sur la haine et la vengeance », a fait remarquer le ministre Roger Adom qui a demandé aux populations de « conscientiser » leurs enfants et proches pour une paix définitive et à s’ouvrir à leurs frères et sœurs, pour éviter les crises qui ont secoué la Côte d’Ivoire et la cité royale a répété l’émissaire du gouvernement lors des étapes d’Aniassué (22 km d’Abengourou) de Kodjina (5 km) et d’Abengourou.
La région de l’Indénié-Djuablin a connu des affrontements communautaires qui ont fait deux victimes décédées lors de la présidentielle du 31 octobre 2020.
« Avec Alassane Ouattara, il n’y a pas de communauté il y a la Côte d’Ivoire, a rappelé le ministre Roger Adom avant de souligner que « le président Ouattara n’a rien ne fait ni appelé quelqu’un contre les Ivoiriens », a insisté le ministre Roger Adom recevant successivement les chefs traditionnels, l’association des jeunes et de femmes et les représentants des communautés ethniques vivant à Abengourou.
Le ministre Roger Adom a demandé aux populations de maintenir leur confiance au président de la République Alassane Ouattara qui leur garantit la paix et la sécurité et une vie améliorée.
« Mais nous avons besoin de la paix, de la stabilité et de votre soutien pour qu’avec les moyens de l’État, on puisse construire le pays. Une Côte d’Ivoire meilleure prospère, solidaire, où il n'y pas de différence ni de fracture territoriale », a fait savoir ministre.
Roger Adom a encouragé particulièrement les populations d'Abengourou à œuvrer pour que pour la paix et la cohésion soient maintenues, et à faire en sorte que le nom originel d'Abengourou, « Mpèkro » qui veut dire « je n'aime pas les palabres », soit une réalité dans le royaume de l’Indénié.
nam/tm