En tournée de sensibilisation dans la région de Gbêkê, la secrétaire d’Etat chargé des droits de l’homme, Aimée Zébéyoux, a exhorté les populations à des élections législatives apaisées le 06 mars 2021.
Aussi bien à Sakassou, le 19 février qu’à Béoumi et Bouaké les 20 et 21 février 2021, trois localités de la région de Gbêkê qui avaient enregistré des violences lors de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, Mme la secrétaire d’Etat a fait comprendre aux populations, notamment, aux jeunes que le vote est un droit qui appartient à tout citoyen et que nul n’a donc le droit de l’empêcher de l’exercer.
« Le droit de vote est un droit qui appartient à tout citoyen. Il est donc libre de voter ou de ne pas voter, mais il ne doit pas empêcher son frère ou son ami de voter. Parce que c’est le non-respect du droit de l’autre qui entraine les conflits qui conduisent à de graves violations des droits de l’homme », a-t-elle expliquer.
Mme Zébéyoux a demandé aux jeunes de ne pas se laisser instrumentaliser par les hommes politique pour assouvir leurs intérêts personnels. « Chers jeunes, ne vous laissez pas instrumentaliser par les politiciens pour aller casser, car les élections se gagnent dans les urnes et non dans les casses », a indiqué la première responsable du secrétariat d’Etat chargé des droits de l’homme.
Elle a saisi l’occasion pour saluer toutes les personnes de bonne volonté qui l’ont précédée sur le terrain pour mener des actions visant à contribuer à l’instauration d’un climat de paix et de respect des droits de l’homme pendant les joutes électorales à venir.
« Je voudrais saluer les initiatives des chefs traditionnels, des guides religieux, des organisations de la société civile et des associations de jeunes et de femmes qui ont compris qu’il faut aller à la paix afin que notre pays devienne la Côte d’Ivoire d’avant où on ne faisait pas de distinction entre les différentes ethnies et où nous constituons la même famille », a indiqué le membre du gouvernement.
(AIP)
Aussi bien à Sakassou, le 19 février qu’à Béoumi et Bouaké les 20 et 21 février 2021, trois localités de la région de Gbêkê qui avaient enregistré des violences lors de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, Mme la secrétaire d’Etat a fait comprendre aux populations, notamment, aux jeunes que le vote est un droit qui appartient à tout citoyen et que nul n’a donc le droit de l’empêcher de l’exercer.
« Le droit de vote est un droit qui appartient à tout citoyen. Il est donc libre de voter ou de ne pas voter, mais il ne doit pas empêcher son frère ou son ami de voter. Parce que c’est le non-respect du droit de l’autre qui entraine les conflits qui conduisent à de graves violations des droits de l’homme », a-t-elle expliquer.
Mme Zébéyoux a demandé aux jeunes de ne pas se laisser instrumentaliser par les hommes politique pour assouvir leurs intérêts personnels. « Chers jeunes, ne vous laissez pas instrumentaliser par les politiciens pour aller casser, car les élections se gagnent dans les urnes et non dans les casses », a indiqué la première responsable du secrétariat d’Etat chargé des droits de l’homme.
Elle a saisi l’occasion pour saluer toutes les personnes de bonne volonté qui l’ont précédée sur le terrain pour mener des actions visant à contribuer à l’instauration d’un climat de paix et de respect des droits de l’homme pendant les joutes électorales à venir.
« Je voudrais saluer les initiatives des chefs traditionnels, des guides religieux, des organisations de la société civile et des associations de jeunes et de femmes qui ont compris qu’il faut aller à la paix afin que notre pays devienne la Côte d’Ivoire d’avant où on ne faisait pas de distinction entre les différentes ethnies et où nous constituons la même famille », a indiqué le membre du gouvernement.
(AIP)