Xinhua - Un haut responsable de l'ex- rébellion ivoirienne des Forces nouvelles (FN) a indiqué que 2009 serait l'année des élections et "la fin de la crise" en Côte d'Ivoire, rapporte lundi la presse locale.
"Je crois que si Dieu nous aide, nous irons aux élections cette année et ce serait la fin de la crise", a déclaré Bamba Sinima, directeur de cabinet du secrétaire général des FN, Guillaume Soro, également chef du gouvernement ivoirien.
"Je demande donc à tous les Ivoiriens de se faire confiance et de faire confiance à nos responsables politiques, notamment le Premier ministre et le chef de l'Etat pour les actions qu'ils sont en train de mener et qui sont basées sur les élections", a-t-il ajouté.
Les élections en Côte d'Ivoire, initialement prévues en octobre 2005, fin du mandat constitutionnel du président Laurent Gbagbo, ont été repoussées à plusieurs reprises faut de consensus sur les dossiers de l'identification et du désarmement de l'ex- belligérants.
Selon M. Bamba, certaines contraintes financières sont à l'origine du rendez-vous manqué des élections en Côte d'Ivoire en 2008.
"Aujourd'hui, ces contraintes sont en train d'être levées" avec l'organisation de l'identification sur l'ensemble du le territoire, ce qui ouvrira la voie à l'organisation pratique des élections en 2009, a-t-il ajouté.
"Je crois que si Dieu nous aide, nous irons aux élections cette année et ce serait la fin de la crise", a déclaré Bamba Sinima, directeur de cabinet du secrétaire général des FN, Guillaume Soro, également chef du gouvernement ivoirien.
"Je demande donc à tous les Ivoiriens de se faire confiance et de faire confiance à nos responsables politiques, notamment le Premier ministre et le chef de l'Etat pour les actions qu'ils sont en train de mener et qui sont basées sur les élections", a-t-il ajouté.
Les élections en Côte d'Ivoire, initialement prévues en octobre 2005, fin du mandat constitutionnel du président Laurent Gbagbo, ont été repoussées à plusieurs reprises faut de consensus sur les dossiers de l'identification et du désarmement de l'ex- belligérants.
Selon M. Bamba, certaines contraintes financières sont à l'origine du rendez-vous manqué des élections en Côte d'Ivoire en 2008.
"Aujourd'hui, ces contraintes sont en train d'être levées" avec l'organisation de l'identification sur l'ensemble du le territoire, ce qui ouvrira la voie à l'organisation pratique des élections en 2009, a-t-il ajouté.