Bakayoko Adama, le président du Club des Amis Michel Niaucel, ancien chef de sécurité de la délégation de l’Union Européenne en Côte d’Ivoire, affiche de grandes ambitions. Il espère faire de cette organisation une référence en Côte d’Ivoire dans la réalisation d’actions sociales. Il a récemment levé un pan du voile sur ses priorités pour cette année 2009. Il s’agit notamment des programmes de formation ayant trait à l’éducation, la réinsertion des jeunes déscolarisés dans le tissu social, l’insertion des démunis dans la vie active. Il est aussi question d’aider les jeunes mères, les veuves, à s’installer dans le petit commerce. Il s’agit également et surtout de la réhabilitation d’une école coranique située dans le périmètre du siège. .... Il faut se souvenir qu’en 2008, les enfants de feu Michel Niaucel ont foulé le sol ivoirien pour la première fois en vue de s’imprégner de ce que valait leur père et de connaître le Club qui pérennise son nom. Récemment le siège de cette organisation a fait l’objet de visite d’éminentes personnalités.
Sans détour Mémoire courte
Si on ne sait pas où on va, la logique aurait voulu qu’on se souvienne d’où on vient. Malheureusement sous nos cieux et particulièrement en Afrique, les gens ont la mémoire très courte. Une petite porte de sortie grâce à un parent, une connaissance ou par un proche. Et les bons à rien d’hier se croient être au sommet. Se croient plus les royalistes que le roi. Amènent leur maître à bannir ceux qui les ont fait de toutes pièces. Apprentis sorciers devant l’éternel, ils oublient du coup d’où ils sont venus. Et aspirent à jouer les premiers rôles. La compétence. Ils oublient que c’est souvent au forceps que leurs maîtres cherchent à les aligner. Seuls soucis, combattre les compétences par des intrigues, calomnies et autres pratiques d’un autre âge dont eux seuls ont le secret. Cet état d’esprit fait couler nos sociétés. Et on accuse les sorciers. Pourtant, notre seul malheur, c’est d’avoir voulu faire du bien. A des bons à rien, des lèches bottes. La société est pourrie par ces individus qui mettent à mal le bon fonctionnent de nos Nations. Ces mémoires courtes et apprentis sorciers sont partout, même dans les poches de ceux qu’ils coulent à petit feu. A la semaine prochaine !
Par Sériba Koné
Sans détour Mémoire courte
Si on ne sait pas où on va, la logique aurait voulu qu’on se souvienne d’où on vient. Malheureusement sous nos cieux et particulièrement en Afrique, les gens ont la mémoire très courte. Une petite porte de sortie grâce à un parent, une connaissance ou par un proche. Et les bons à rien d’hier se croient être au sommet. Se croient plus les royalistes que le roi. Amènent leur maître à bannir ceux qui les ont fait de toutes pièces. Apprentis sorciers devant l’éternel, ils oublient du coup d’où ils sont venus. Et aspirent à jouer les premiers rôles. La compétence. Ils oublient que c’est souvent au forceps que leurs maîtres cherchent à les aligner. Seuls soucis, combattre les compétences par des intrigues, calomnies et autres pratiques d’un autre âge dont eux seuls ont le secret. Cet état d’esprit fait couler nos sociétés. Et on accuse les sorciers. Pourtant, notre seul malheur, c’est d’avoir voulu faire du bien. A des bons à rien, des lèches bottes. La société est pourrie par ces individus qui mettent à mal le bon fonctionnent de nos Nations. Ces mémoires courtes et apprentis sorciers sont partout, même dans les poches de ceux qu’ils coulent à petit feu. A la semaine prochaine !
Par Sériba Koné
