Le ministère de la Famille, de la Femme et des Affaires Sociales (MFFAS) a signé la mercredi 14 janvier 2008, à son cabinet au Plateau, un protocole d’accord avec l’ONG International Rescue Commitee (IRC). L’ONG s’engage à appuyer le MFFAS dans sa politique de lutte contre les VBG.
Selon Mme Yao Euphrasie, directrice de l’égalité et de la question du genre audit ministère, il s’agit aujourd’hui de sceller noir sur blanc, une collaboration qui était informelle depuis trois (03) ans déjà. Ce partenariat va permettre au MFFAS de recevoir la somme de 1 milliard 845 millions de Fcfa comme fonds pour mener les activités dans le cadre de la campagne contre les VBG.
Pendant 3 ans, tous les départements de la Côte d’Ivoire seront parcourus afin de toucher le maximum de personnes et les engager contre ce genre de violences dont la majorité touche les femmes et les petites filles. Quant à M. Louis Falci, directeur de IRC, il a souligné qu’il s’agissait d’un protocole d’accord signé entre deux institutions spécialisées. IRC, étant une ONG qui œuvre dans le domaine de la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles. Ce protocole va leur permettre de mener des actions coordonnées pour un meilleur résultat. M. Falci s’est dit convaincu que ce genre de violence, reste un frein pour le développement. Aussi, a-t-il affirmé que c’est un bon partenariat car chacune des parties a une exigence envers l’autre. Mme le ministre Jeanne Peuhmond a affirmé à son tour, que ce protocole vise à promouvoir les principes fondamentaux des droits humains pour les populations. « Les violences basées sur le genre sont en effet perpétrées contre un homme ou une femme du fait des rapports sociaux inégalitaires qui régissent, malheureusement, nos communautés », a-t-elle constaté. C’est pourquoi, le partenariat vient à point nommé. Car, il offre, selon elle, l’opportunité de mener des actions de proximité au profit des populations vulnérables à travers la réhabilitation des centres de prise en charge des victimes ; le renforcement des capacités techniques des travailleurs sociaux la gestion des informations sur les cas de VBG ; l’appui aux services techniques du département en charge des questions de genre. Pour terminer, elle s’est engagée à la réussite du projet qui leur permettra de travailler en synergie et d’obtenir une avancée notable dans la lutte contre les violences fondées sur le genre.
Olivier Guédé
Selon Mme Yao Euphrasie, directrice de l’égalité et de la question du genre audit ministère, il s’agit aujourd’hui de sceller noir sur blanc, une collaboration qui était informelle depuis trois (03) ans déjà. Ce partenariat va permettre au MFFAS de recevoir la somme de 1 milliard 845 millions de Fcfa comme fonds pour mener les activités dans le cadre de la campagne contre les VBG.
Pendant 3 ans, tous les départements de la Côte d’Ivoire seront parcourus afin de toucher le maximum de personnes et les engager contre ce genre de violences dont la majorité touche les femmes et les petites filles. Quant à M. Louis Falci, directeur de IRC, il a souligné qu’il s’agissait d’un protocole d’accord signé entre deux institutions spécialisées. IRC, étant une ONG qui œuvre dans le domaine de la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles. Ce protocole va leur permettre de mener des actions coordonnées pour un meilleur résultat. M. Falci s’est dit convaincu que ce genre de violence, reste un frein pour le développement. Aussi, a-t-il affirmé que c’est un bon partenariat car chacune des parties a une exigence envers l’autre. Mme le ministre Jeanne Peuhmond a affirmé à son tour, que ce protocole vise à promouvoir les principes fondamentaux des droits humains pour les populations. « Les violences basées sur le genre sont en effet perpétrées contre un homme ou une femme du fait des rapports sociaux inégalitaires qui régissent, malheureusement, nos communautés », a-t-elle constaté. C’est pourquoi, le partenariat vient à point nommé. Car, il offre, selon elle, l’opportunité de mener des actions de proximité au profit des populations vulnérables à travers la réhabilitation des centres de prise en charge des victimes ; le renforcement des capacités techniques des travailleurs sociaux la gestion des informations sur les cas de VBG ; l’appui aux services techniques du département en charge des questions de genre. Pour terminer, elle s’est engagée à la réussite du projet qui leur permettra de travailler en synergie et d’obtenir une avancée notable dans la lutte contre les violences fondées sur le genre.
Olivier Guédé
