Le Bureau ivoirien du droit d’auteur, Burida, organisera samedi, à partir de 21h, la deuxième édition des “Haut de gamme!”
Et de deux ! La salle du Palais de la culture, qui porte les noms d’illustres créateurs ivoiriens si tôt disparus, François Lougah/ Ernesto Djédjé sera en fête samedi. Une fête pour célébrer l’Art, une fête pour honorer ceux qui savent célébrer le Beau : les artistes, les créateurs. Ainsi en a décidé le Burida, depuis l’an dernier : distinguer, chaque année, au cours d’une cérémonie, des créateurs qui ont su porter haut la voix de la culture ivoirienne.
Sa vocation lui permet de la faire : promouvoir, entre autres, des œuvres exécutées sur l’ensemble du territoire national ; son statut aussi, pour porter un jugement de qualité sur le mérite de ses membres. L’objectif du Burida est ainsi décliné : aider à faire connaître et affirmer son autorité morale et sociale au plan national ; honorer le mérite des créateurs, en relevant leur estime de soi à travers la célébration de leurs œuvres ; susciter une saine émulation au sein des sociétaires ; établir une relation harmonieuse entre le Burida, ses associés, ses différents partenaires et le grand public ; assurer le positionnement et le rayonnement de la Côte d’Ivoire dans la sous-région et sur le continent.
Sont pris en compte, pour cette deuxième édition, précise-t-on, tous les artistes inscrits au Burida, dont les œuvres ont été produites dans la période de juillet 2007 au 31 décembre 2008.
Commencée l’an dernier, malgré la fronde d’un groupe d’artistes qui n’y avaient rien compris, cette cérémonie annuelle de distinction des créateurs a été grandement honorée par le Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, le 20 décembre sur la berge de l’hôtel du Golf. Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Komoé, a eu raison de dire : Elle entend « montrer que nos créateurs ont du talent». Mieux, que le mérite à honorer se cueille aux griffes de l’effort de Sisyphe. C’est le symbole même du trophée. En bronze, représentant des marches d’escalier, il symbolise les efforts de créativité, de recherches pour arriver au sommet, à la gamme majeure.
25 prix au total seront remis aux lauréats répartis dans 8 disciplines : musique, arts visuels, arts dramatiques, littérature, publicité, cinéma, création de mode, mannequinat. S’y ajoutent deux prix spéciaux, un prix de l’artiste modèle et un autre pour la meilleure audience internationale.
Une belle fête en perspective.
Michel Koffi
Et de deux ! La salle du Palais de la culture, qui porte les noms d’illustres créateurs ivoiriens si tôt disparus, François Lougah/ Ernesto Djédjé sera en fête samedi. Une fête pour célébrer l’Art, une fête pour honorer ceux qui savent célébrer le Beau : les artistes, les créateurs. Ainsi en a décidé le Burida, depuis l’an dernier : distinguer, chaque année, au cours d’une cérémonie, des créateurs qui ont su porter haut la voix de la culture ivoirienne.
Sa vocation lui permet de la faire : promouvoir, entre autres, des œuvres exécutées sur l’ensemble du territoire national ; son statut aussi, pour porter un jugement de qualité sur le mérite de ses membres. L’objectif du Burida est ainsi décliné : aider à faire connaître et affirmer son autorité morale et sociale au plan national ; honorer le mérite des créateurs, en relevant leur estime de soi à travers la célébration de leurs œuvres ; susciter une saine émulation au sein des sociétaires ; établir une relation harmonieuse entre le Burida, ses associés, ses différents partenaires et le grand public ; assurer le positionnement et le rayonnement de la Côte d’Ivoire dans la sous-région et sur le continent.
Sont pris en compte, pour cette deuxième édition, précise-t-on, tous les artistes inscrits au Burida, dont les œuvres ont été produites dans la période de juillet 2007 au 31 décembre 2008.
Commencée l’an dernier, malgré la fronde d’un groupe d’artistes qui n’y avaient rien compris, cette cérémonie annuelle de distinction des créateurs a été grandement honorée par le Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, le 20 décembre sur la berge de l’hôtel du Golf. Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Komoé, a eu raison de dire : Elle entend « montrer que nos créateurs ont du talent». Mieux, que le mérite à honorer se cueille aux griffes de l’effort de Sisyphe. C’est le symbole même du trophée. En bronze, représentant des marches d’escalier, il symbolise les efforts de créativité, de recherches pour arriver au sommet, à la gamme majeure.
25 prix au total seront remis aux lauréats répartis dans 8 disciplines : musique, arts visuels, arts dramatiques, littérature, publicité, cinéma, création de mode, mannequinat. S’y ajoutent deux prix spéciaux, un prix de l’artiste modèle et un autre pour la meilleure audience internationale.
Une belle fête en perspective.
Michel Koffi
