La journée du 20 mars a été décrétée journée internationale de la Francophonie, en souvenir de la signature, le 20 mars 1970, à Niamey au Niger, de la Convention de l’Agence de coopération technique et culturelle, devenue Organisation internationale de la Francophonie. C’est dans le cadre de l’animation de ce souvenir que le ministre de la Culture et de la Francophonie Augustin Koudio Komoé a organisé un point de presse, hier, dans les locaux dudit ministère en vue de situer l’importance de la rencontre historique qui se déroulera sur le thème national “La contribution de la Francophonie à la paix dans le monde et en Côte d’Ivoire”.
“Vous comprenez par ce thème, a souligné le ministre Augustin Kouadio Komoé, notre volonté de nous approprier les instruments élaborés par la Francophonie en matière de paix dans le monde, d’une part, et, d’autre part, de mener une réflexion sur la contribution de la Francophonie à la recherche de la paix dans notre pays depuis l’éclatement de la crise en 2002. Je voudrais inviter solennellement la presse nationale et internationale à se mobiliser autour de ce thème pour permettre une meilleure visibilité des actions de notre organisation commune au profit de la paix”.
Pour réserver un éclat particulier à la rencontre historique qui constitue une véritable fête élargie du jeudi 19 au dimanche 22 mars, Augustin Kouado a indiqué que toutes les communautés francophones vivant en Côte d’Ivoire, les francophiles et partenaires de la Francophonie ouverte sur le monde et surtout le grand public, doivent se mobiliser en vue de dynamiser l’outil commun de rassemblement.
Bien des thèmes ont servi de débats lors des rencontres qui ont eu lieu depuis 2003. Cette année-là, c’est le thème “Le visage pluriel de la Francophonie” qui a servi la réflexion. Il s’est agi de montrer la réalité de la transversalité de la Francophonie à travers son vaste champ d’intervention. En 2004, l’on a relevé la solidarité que prône la Francophonie à travers le thème “La Francophonie pour un développement solidaire et l’intégration régionale”.
La réconciliation et la paix dans la différence ont été soulignées dans le thème de 2005, quand celui de 2006 s’est penché sur le dialogue des cultures en vue d’engendrer la paix et l’unité nationale. Les années 2007 et 2008 ont été célébrées sous le signe de la valorisation du patrimoine culturel, moteur de la reconstruction et la coopération francophone pour un développement durable.
Azo Vauguy
“Vous comprenez par ce thème, a souligné le ministre Augustin Kouadio Komoé, notre volonté de nous approprier les instruments élaborés par la Francophonie en matière de paix dans le monde, d’une part, et, d’autre part, de mener une réflexion sur la contribution de la Francophonie à la recherche de la paix dans notre pays depuis l’éclatement de la crise en 2002. Je voudrais inviter solennellement la presse nationale et internationale à se mobiliser autour de ce thème pour permettre une meilleure visibilité des actions de notre organisation commune au profit de la paix”.
Pour réserver un éclat particulier à la rencontre historique qui constitue une véritable fête élargie du jeudi 19 au dimanche 22 mars, Augustin Kouado a indiqué que toutes les communautés francophones vivant en Côte d’Ivoire, les francophiles et partenaires de la Francophonie ouverte sur le monde et surtout le grand public, doivent se mobiliser en vue de dynamiser l’outil commun de rassemblement.
Bien des thèmes ont servi de débats lors des rencontres qui ont eu lieu depuis 2003. Cette année-là, c’est le thème “Le visage pluriel de la Francophonie” qui a servi la réflexion. Il s’est agi de montrer la réalité de la transversalité de la Francophonie à travers son vaste champ d’intervention. En 2004, l’on a relevé la solidarité que prône la Francophonie à travers le thème “La Francophonie pour un développement solidaire et l’intégration régionale”.
La réconciliation et la paix dans la différence ont été soulignées dans le thème de 2005, quand celui de 2006 s’est penché sur le dialogue des cultures en vue d’engendrer la paix et l’unité nationale. Les années 2007 et 2008 ont été célébrées sous le signe de la valorisation du patrimoine culturel, moteur de la reconstruction et la coopération francophone pour un développement durable.
Azo Vauguy
