Ce samedi 17 janvier 2009, le studio B de la télévision 1ère chaîne est pris d’assaut par le public.
L’émission « Tempo » bat son plein, presqu’ à mi- parcours de sa programmation, lorsque nous y arrivons. Déjà dans la grande cour de la télé, une surprise de taille nous attend.
Claudy Siar, le célébrissime animateur de Radio France Internationale, est prêt à monter à bord de son véhicule 4X4, il vient d’être reçu à l’antenne, en tant qu’invité. Mais le hasard d’une telle rencontre, n’est pas moins un véritable « scoop » et une fierté pour Stars Tonnerre Magazine, le dernier né des magazines culturels en Côte-d’Ivoire. Car il s’agit quand même de Claudy Siar, le grand défenseur infatigable de la culture afro-caraibéenne. Sur le champ, il nous fait penser à un certain feu Roger Fulgence Kassi, qui nous avait donné la chance de participer à son émission Nandjelet, le magazine des jeunes, en 1987 à Bouaké en tant que musicien en herbe. Ce célèbre animateur de la télévision ivoirienne, trop tôt disparu, précisément le vingt janvier 1989, il y a donc de cela vingt ans, jour pour jour, continue toujours d’habiter notre esprit, comme celui de bien d’Ivoiriens. À cause de ses immenses qualités professionnelles, comparées justement à celles de Claudy Siar. Des sommités de l’animation, « uniques en leur genre », comme il n’en existe que quelques spécimens par génération.
Oui, c’est ce « RFK bis », Claudy « hime self », plus captivant que jamais, d’une rare affabilité, qui nous accordera quelques secondes d’échanges, malgré un emploi du temps des plus chargé (Il anime le soir même un gala de prestige, au palais de la culture d’Abidjan)
Ce bref moment, mais haut combien précieux à nos yeux, nous a permis de transmettre les sentiments du petit peuple , à un Claudy Siar humaniste à souhait, amoureux de la terre d’Afrique en général, et de la Côte d’Ivoire en partuculier.
Sa présence à Abidjan, ce samedi 17 janvier, en est une illustration parfaite. Invité pour co-animer, en compagnie de la consoeur Awa Thoura , la deuxième soirée des « Haut de Gamme » organisée par le bureau ivoirien des droits d’auteurs (BURIDA),Claudy Siar confirme ainsi, ce que les ivoiriens pensent de lui : un véritable ami de la Côte d’Ivoire.
« Claudy répond, certes, à une invitation privée, mais il faut dire que son cas mérite d’être souligné et salué », indique l’adjudant John Chahin Sombo, des Forces aériennes ivoiriennes. Ce célèbre producteur d’émissions télé sur la 1ère chaîne, ajoute que « Claudy Siar a toujours répondu présent quand on l’invite en Côte d’Ivoire, pendant que d’autres refusent pour cause de guerre». Et ce n’est pas tout. « Ce n’est un secret pour personne, Claudy Siar fait beaucoup pour la musique ivoirienne. C’est lui qui a aidé à positionner confortablement le groupe Magic systèm, sans oublier qu’il a contribué à asseoir la réputation du Coupé- Décalé dans le monde », se réjouit l’homme le plus médiatisé de l’armée ivoirienne. Qui ne cache pas son admiration et son respect pour ce digne fils de l’Afrique.
Hommage que nous partageons, pour réaffirmer à Claudy Siar toute l’amitié des Ivoiriens, qui sont loin d’avoir la mémoire courte. Ils auront toujours à l’esprit qu’au plus fort de la crise, pendant que notre pays était peu fréquentable, il y a eu des amis qui se sont associé à nos souffrances. Parmi eux, un certain Claudy Siar, un nom que l’histoire récente de ce pays retiendra.
Désiré D. Dodowara
L’émission « Tempo » bat son plein, presqu’ à mi- parcours de sa programmation, lorsque nous y arrivons. Déjà dans la grande cour de la télé, une surprise de taille nous attend.
Claudy Siar, le célébrissime animateur de Radio France Internationale, est prêt à monter à bord de son véhicule 4X4, il vient d’être reçu à l’antenne, en tant qu’invité. Mais le hasard d’une telle rencontre, n’est pas moins un véritable « scoop » et une fierté pour Stars Tonnerre Magazine, le dernier né des magazines culturels en Côte-d’Ivoire. Car il s’agit quand même de Claudy Siar, le grand défenseur infatigable de la culture afro-caraibéenne. Sur le champ, il nous fait penser à un certain feu Roger Fulgence Kassi, qui nous avait donné la chance de participer à son émission Nandjelet, le magazine des jeunes, en 1987 à Bouaké en tant que musicien en herbe. Ce célèbre animateur de la télévision ivoirienne, trop tôt disparu, précisément le vingt janvier 1989, il y a donc de cela vingt ans, jour pour jour, continue toujours d’habiter notre esprit, comme celui de bien d’Ivoiriens. À cause de ses immenses qualités professionnelles, comparées justement à celles de Claudy Siar. Des sommités de l’animation, « uniques en leur genre », comme il n’en existe que quelques spécimens par génération.
Oui, c’est ce « RFK bis », Claudy « hime self », plus captivant que jamais, d’une rare affabilité, qui nous accordera quelques secondes d’échanges, malgré un emploi du temps des plus chargé (Il anime le soir même un gala de prestige, au palais de la culture d’Abidjan)
Ce bref moment, mais haut combien précieux à nos yeux, nous a permis de transmettre les sentiments du petit peuple , à un Claudy Siar humaniste à souhait, amoureux de la terre d’Afrique en général, et de la Côte d’Ivoire en partuculier.
Sa présence à Abidjan, ce samedi 17 janvier, en est une illustration parfaite. Invité pour co-animer, en compagnie de la consoeur Awa Thoura , la deuxième soirée des « Haut de Gamme » organisée par le bureau ivoirien des droits d’auteurs (BURIDA),Claudy Siar confirme ainsi, ce que les ivoiriens pensent de lui : un véritable ami de la Côte d’Ivoire.
« Claudy répond, certes, à une invitation privée, mais il faut dire que son cas mérite d’être souligné et salué », indique l’adjudant John Chahin Sombo, des Forces aériennes ivoiriennes. Ce célèbre producteur d’émissions télé sur la 1ère chaîne, ajoute que « Claudy Siar a toujours répondu présent quand on l’invite en Côte d’Ivoire, pendant que d’autres refusent pour cause de guerre». Et ce n’est pas tout. « Ce n’est un secret pour personne, Claudy Siar fait beaucoup pour la musique ivoirienne. C’est lui qui a aidé à positionner confortablement le groupe Magic systèm, sans oublier qu’il a contribué à asseoir la réputation du Coupé- Décalé dans le monde », se réjouit l’homme le plus médiatisé de l’armée ivoirienne. Qui ne cache pas son admiration et son respect pour ce digne fils de l’Afrique.
Hommage que nous partageons, pour réaffirmer à Claudy Siar toute l’amitié des Ivoiriens, qui sont loin d’avoir la mémoire courte. Ils auront toujours à l’esprit qu’au plus fort de la crise, pendant que notre pays était peu fréquentable, il y a eu des amis qui se sont associé à nos souffrances. Parmi eux, un certain Claudy Siar, un nom que l’histoire récente de ce pays retiendra.
Désiré D. Dodowara