Nadia, la fille de Joseph et de sa femme Savan, ne supporte pas la présence d’Anita chez eux. Affoué, la servante, ayant lié amitié avec Anita, subira à son tour, le courroux de Nadia. Qui, en définitive, vouera une haine sans nom aux deux filles. Cette trame du téléfilm CAMPUS, qui passe chaque dimanche, à 12 heures 20, sur la Première, a révélé aux téléspectateurs plusieurs jeunes acteurs, rivalisant de talent. Parmi eux, se distinguent deux actrices. Affoué, de son vrai nom Kossia Nadège, et Diawara Sarran, étudiante en communication, qui joue le rôle de Nadia, la méchante. Comment ces jeunes filles, sans grandes notions d’actrice au départ, arrivent-elles à maîtriser leurs différents rôles, de façon magistrale ? Jusqu’au point de susciter, auprès du public, mépris ou soutien, selon le cas de figure. Tellement elles rendent bien leurs jeux ! Pour la première fois, elles se confient à vous. Une exclusivité de votre magazine.
Qui etes vous à l’état civil ?
Je suis Kossia Affoué Nadège, « Affoué International » dans le téléfilm Campus. J’ai 24 ans et je suis Agni d’Agnibilékro.
Cursus scolaire
J’ai le niveau secondaire, et en plus de ça, j’ai effectué un certain nombre de formations, mais pour l’heure, je préfère me consacrer au cinéma.
Le mariage
Actuellement, je ne suis pas mariée, mais je ne suis pas, non plus, un cœur à prendre.( rire)
Amour du cinéma
Depuis le bas âge, j’ai beaucoup aimé le théâtre, donc dans mon enfance, j’ai joué des rôles dans les théâtres scolaires au lycée Mamie Faitai de Bingerville. Ayant déjà eu le goût de la chose, j’ai décidé toute petite que quand je serai grande, et quel que soit le niveau d’études que j’aurai, je ferai du cinéma. C’est ainsi qu’un jour, je reçois un appel provenant d’un ami, qui m’informe qu’il y a une émission de télé « savoir vivre » de Patricia Kalou qui avait besoin d’actrices pour jouer. Je me suis rendue chez elle, et j’ai été retenue. C’est comme cela que j’ai commencé petit a petit ma carrière d’actrice.
L’histoire de Campus
Un jour, je suivais la télé, et j’ai vu un spot publicitaire de tonnerre qui annonçait un casting pour des rôles d’actrices dans le téléfilm Campus. Sans tarder, j’ai postulé par le biais de Mariama qui a été Stas tonnerre de la première édition. Je la connaissais, car elle a joué dans « savoir vivre » . Pendant le casting, je me suis donnée à fond et ensuite j’ai prié mon seigneur Jésus Christ, car je suis chrétienne. J’ai demandé à mon Sauveur de m’aider car il y’avait beaucoup de candidates, et que je ne comptais ni sur ma beauté, ni sur mon talent, mais plutôt sur lui. Le tournage avait même commencé sans qu’on ne m’appelle, mais ayant la foi, j’ai toujours continué à prier. Un beau jour, Mr zadito m’as appelée et au cours du 2ème casting, il m’a demandé de pleurer. J’ai très bien pleuré comme en réalité et là il a trouvé que j’ai bien rendu le rôle. Ensuite, il m’a dit qu’il allait me donner un rôle d’une servante où, justement, il allait être question de pleurer. Au départ, j’ai voulu refuser car je trouvais ce rôle en déphasage avec ma personnalité, mais il m’a rassurée que c’est comme cela que les grandes actrices ont commencé, avant d’évoluer. J’ai tenu compte de son conseil. Et j’ai accepté ce rôle.
Le regard de ton entourage
Au départ, ça n’a pas été facile dans le quartier ou dans les rues. Les gens m’appelaient Affoué la bonne et ça me gênait. Je me disais que j’étais stylée et que le rôle de bonne ne m’arrangeait pas. J’ai accepté malgré tout, car une actrice en Afrique et ailleurs, se voit toujours collée l’image du rôle qu’elle joue. Et pour finir, ça ne me dit plus rien. Une anecdote, un jour je passais dans la rue et j’étais habillée en pantalon, et voila quelqu’un qui m’as reconnue. Il me dit, c’est la servante qui s’habille bien comme ça.Cela dit, je sais qu’aujourd’hui, je suis beaucoup aimée par le public et cela me va droit au cœur. On me reconnaît quand je passe dans la rue, cela veut dire que mon rôle est beaucoup admiré. Je reçois des appels de l’intérieur du pays comme de la sous région, pour me féliciter et ça me réjouit. Je rends gloire à mon Dieu pour cela.
La haine entre Nadia et Affoué
Le scénario, c’est que Affoué est une petite fille villageoise qui est venue travailler chez les parents de Nadia. En tant que villageoise, Affoué répond aux coups qu’on lui donne, et à son arrivée, elle trouve la fille de sa patronne qui lui mène la vie très difficile au point de l’humilier tout le temps. Ce qui fait déborder la goutte d’eau dans le vase, c’est que le jour de mon arrivée, elle m’a traité de servante et cela ne m’a frustrée et j’ai pleuré amèrement. C’est de là que la haine est partie entre nous. Sinon en tant que la fille de ma patronne, je lui dois du respect et je dois l’aimer, en plus de cela, elle n’aime pas Anita, ma copine dans le film et tout cela contribue à la haine que j’éprouve pour Nadia.
Vos relations en dehors de la scène
Nadia, c’est ma bonne petite qui m’aime ainsi que moi aussi. Tout va pour le mieux entre nous. Je me rappelle qu’un jour, elle et moi étions aux 2 Plateaux pour des courses, et des gens nous ont vues ensemble et ils murmuraient entre eux : ah les deux là s’entendent bien alors ! Nadia et moi, nous nous sommes bien marrées. Qu’elle sache que je l’aime beaucoup et je lui fais un coucou au passage.
Ton concept Affoué internationale
Un jour, un ami qui vit au Congo m’a appelée pour me dire qu’il me voyait passer en direct à la télé .J’étais surprise et contente, donc j’ai tiré la conclusion qu’on me suit au-delà de nos frontières, et de me dire à moi-même « ah je suis internationale alors » J’ai dit, il faut que je me donne un nom et c’est de là que je me suis donnée le nom « Affoué internationale » parce que je suis suivie en Afrique et peut être en Europe. C’est de là qu’est venu ce nom.
Qui etes vous à l’état civil ?
Je suis Kossia Affoué Nadège, « Affoué International » dans le téléfilm Campus. J’ai 24 ans et je suis Agni d’Agnibilékro.
Cursus scolaire
J’ai le niveau secondaire, et en plus de ça, j’ai effectué un certain nombre de formations, mais pour l’heure, je préfère me consacrer au cinéma.
Le mariage
Actuellement, je ne suis pas mariée, mais je ne suis pas, non plus, un cœur à prendre.( rire)
Amour du cinéma
Depuis le bas âge, j’ai beaucoup aimé le théâtre, donc dans mon enfance, j’ai joué des rôles dans les théâtres scolaires au lycée Mamie Faitai de Bingerville. Ayant déjà eu le goût de la chose, j’ai décidé toute petite que quand je serai grande, et quel que soit le niveau d’études que j’aurai, je ferai du cinéma. C’est ainsi qu’un jour, je reçois un appel provenant d’un ami, qui m’informe qu’il y a une émission de télé « savoir vivre » de Patricia Kalou qui avait besoin d’actrices pour jouer. Je me suis rendue chez elle, et j’ai été retenue. C’est comme cela que j’ai commencé petit a petit ma carrière d’actrice.
L’histoire de Campus
Un jour, je suivais la télé, et j’ai vu un spot publicitaire de tonnerre qui annonçait un casting pour des rôles d’actrices dans le téléfilm Campus. Sans tarder, j’ai postulé par le biais de Mariama qui a été Stas tonnerre de la première édition. Je la connaissais, car elle a joué dans « savoir vivre » . Pendant le casting, je me suis donnée à fond et ensuite j’ai prié mon seigneur Jésus Christ, car je suis chrétienne. J’ai demandé à mon Sauveur de m’aider car il y’avait beaucoup de candidates, et que je ne comptais ni sur ma beauté, ni sur mon talent, mais plutôt sur lui. Le tournage avait même commencé sans qu’on ne m’appelle, mais ayant la foi, j’ai toujours continué à prier. Un beau jour, Mr zadito m’as appelée et au cours du 2ème casting, il m’a demandé de pleurer. J’ai très bien pleuré comme en réalité et là il a trouvé que j’ai bien rendu le rôle. Ensuite, il m’a dit qu’il allait me donner un rôle d’une servante où, justement, il allait être question de pleurer. Au départ, j’ai voulu refuser car je trouvais ce rôle en déphasage avec ma personnalité, mais il m’a rassurée que c’est comme cela que les grandes actrices ont commencé, avant d’évoluer. J’ai tenu compte de son conseil. Et j’ai accepté ce rôle.
Le regard de ton entourage
Au départ, ça n’a pas été facile dans le quartier ou dans les rues. Les gens m’appelaient Affoué la bonne et ça me gênait. Je me disais que j’étais stylée et que le rôle de bonne ne m’arrangeait pas. J’ai accepté malgré tout, car une actrice en Afrique et ailleurs, se voit toujours collée l’image du rôle qu’elle joue. Et pour finir, ça ne me dit plus rien. Une anecdote, un jour je passais dans la rue et j’étais habillée en pantalon, et voila quelqu’un qui m’as reconnue. Il me dit, c’est la servante qui s’habille bien comme ça.Cela dit, je sais qu’aujourd’hui, je suis beaucoup aimée par le public et cela me va droit au cœur. On me reconnaît quand je passe dans la rue, cela veut dire que mon rôle est beaucoup admiré. Je reçois des appels de l’intérieur du pays comme de la sous région, pour me féliciter et ça me réjouit. Je rends gloire à mon Dieu pour cela.
La haine entre Nadia et Affoué
Le scénario, c’est que Affoué est une petite fille villageoise qui est venue travailler chez les parents de Nadia. En tant que villageoise, Affoué répond aux coups qu’on lui donne, et à son arrivée, elle trouve la fille de sa patronne qui lui mène la vie très difficile au point de l’humilier tout le temps. Ce qui fait déborder la goutte d’eau dans le vase, c’est que le jour de mon arrivée, elle m’a traité de servante et cela ne m’a frustrée et j’ai pleuré amèrement. C’est de là que la haine est partie entre nous. Sinon en tant que la fille de ma patronne, je lui dois du respect et je dois l’aimer, en plus de cela, elle n’aime pas Anita, ma copine dans le film et tout cela contribue à la haine que j’éprouve pour Nadia.
Vos relations en dehors de la scène
Nadia, c’est ma bonne petite qui m’aime ainsi que moi aussi. Tout va pour le mieux entre nous. Je me rappelle qu’un jour, elle et moi étions aux 2 Plateaux pour des courses, et des gens nous ont vues ensemble et ils murmuraient entre eux : ah les deux là s’entendent bien alors ! Nadia et moi, nous nous sommes bien marrées. Qu’elle sache que je l’aime beaucoup et je lui fais un coucou au passage.
Ton concept Affoué internationale
Un jour, un ami qui vit au Congo m’a appelée pour me dire qu’il me voyait passer en direct à la télé .J’étais surprise et contente, donc j’ai tiré la conclusion qu’on me suit au-delà de nos frontières, et de me dire à moi-même « ah je suis internationale alors » J’ai dit, il faut que je me donne un nom et c’est de là que je me suis donnée le nom « Affoué internationale » parce que je suis suivie en Afrique et peut être en Europe. C’est de là qu’est venu ce nom.
