Etre un acteur dans la construction de la Côte d’Ivoire post-crise. C’est l’objectif que s’est fixé le journaliste écrivain, Faustin Toha. Pour l’atteindre, l’homme s’est fait le devoir d’écrire un ouvrage, en vue, affirme-t-il, de dénoncer, … le mensonge. Son premier- né, est un essai « Devoir de mensonges, crise à l’ivoirienne». Jeudi dernier, l’auteur a procédé à sa dédicace à la Librairie de France au Plateau en présence de René Yédieti, président directeur général de ladite Librairie et président également de l’Association des libraires de Côte d’Ivoire. De ce bouquin, Awa Ehoura, journaliste à la Radiodiffusion télévision ivoirienne, dira qu’il résume les évènements qui se sont succédé en Côte d’Ivoire depuis le déclenchement de la crise. C’est pourquoi, elle invite les Ivoiriens à le lire, non pas pour se remémorer les évènements douloureux, mais pour un devoir de mémoire. Toutefois, la journaiste n’a pas manqué, après avoir félicité son confrère pour cet essai, de lui reprocher sa bibliographie axée sur les journaux et non les ouvrages littéraires, spécifiques ou intellectuels. Pour elle, «c’est certes la vérité de Faustin Toha, N’empêche, Devoir de mensonges est plein de convictions». Raison pour laquelle, elle préconise que l’on écrive ce qu’on pense véritablement pour vivre dans un monde de paix.
Anciennement au quotidien Soir-Info, Faustin Toha est présenté par Guy Lambin, directeur des Nouvelles éditions ivoiriennes, comme «un journaliste d’investigation, soucieux du détail et de l’objectif». Selon ce dernier, les détails à la minute près de certains évènements dont celui de novembre 2004, font d’ailleurs la particularité de l’œuvre.
Un avis qui n’est pas toujours partagé. Car des lecteurs présents, soutiennent être restés sur leur faim. Répondant aux différentes préoccupations, Faustin Toha a souligné que son ouvrage se veut un guide pour les dirigeants, un livre militant de la vérité. Qui, en réalité, est un exposé de faits, ponctué d’analyses de l’auteur. Laissant ainsi la latitude aux lecteurs de lire entre les lignes pour détecter le mensonge de la vérité.
Cet essai paru aux éditions Nei-Ceda comprend 242 pages.
Marie Chantal Obindé
Anciennement au quotidien Soir-Info, Faustin Toha est présenté par Guy Lambin, directeur des Nouvelles éditions ivoiriennes, comme «un journaliste d’investigation, soucieux du détail et de l’objectif». Selon ce dernier, les détails à la minute près de certains évènements dont celui de novembre 2004, font d’ailleurs la particularité de l’œuvre.
Un avis qui n’est pas toujours partagé. Car des lecteurs présents, soutiennent être restés sur leur faim. Répondant aux différentes préoccupations, Faustin Toha a souligné que son ouvrage se veut un guide pour les dirigeants, un livre militant de la vérité. Qui, en réalité, est un exposé de faits, ponctué d’analyses de l’auteur. Laissant ainsi la latitude aux lecteurs de lire entre les lignes pour détecter le mensonge de la vérité.
Cet essai paru aux éditions Nei-Ceda comprend 242 pages.
Marie Chantal Obindé