La Poste de Côte d’Ivoire a signé, le 22 janvier à Abidjan-Plateau, un protocole d’accord avec la poste de France à travers sa filiale Sofrepost, afin de bénéficier de son expertise dans le cadre de son redressement. La partie ivoirienne était représentée par le directeur général (Dg) de la poste, M. Jean Michel Deigna, et la partie française par le Dg de Sofrepost, M. Philippe Danon.
Le ministre des Nouvelles technologies de l’information et des télécommunications (NTIC), M. Hamed Bakayoko, qui présidait l’évènement, a expliqué que la Sofrepost, spécialisée en conseil de restructuration stratégique et opérationnelle des opérateurs postaux dans le monde, devrait pouvoir proposer des pistes de solutions à la partie ivoirienne d’ici au 31 mars prochain. «La Poste de Côte d’Ivoire ne peut pas disparaître. Il faut sauver cette entreprise. C’est le réseau le plus proche des populations vulnérables et du pays profond», a soutenu le ministre des NTIC.
Avant d’indiquer qu’il attend avec beaucoup d’intérêt le rapport de la société française afin de le soumettre au gouvernement pour sa mise en application le plus rapidement possible.M. Hamed Bakayoko a aussi tenu à exprimer sa solidarité avec les travailleurs de la Poste ivoirienne. Qui vivent des moments difficiles. «Soyez forts, nous sommes en train de trouver des solutions durables. Mais surtout sortir de cette situation le plus rapidement possible», a-t-il commenté. Le directeur général de Sofrepost, M. Philippe Damon, lui, a insisté sur le fait que son équipe va travailler à apporter des solutions techniques adaptées au contexte ivoirien.
La signature du protocole d’accord entre la Poste de Côte d’Ivoire et son homologue de France s’est déroulée en présence du président du conseil d’administration de cette entreprise d’utilité publique ivoirienne, M. Bandaman Maurice.
Théodore Kouadio
Le ministre des Nouvelles technologies de l’information et des télécommunications (NTIC), M. Hamed Bakayoko, qui présidait l’évènement, a expliqué que la Sofrepost, spécialisée en conseil de restructuration stratégique et opérationnelle des opérateurs postaux dans le monde, devrait pouvoir proposer des pistes de solutions à la partie ivoirienne d’ici au 31 mars prochain. «La Poste de Côte d’Ivoire ne peut pas disparaître. Il faut sauver cette entreprise. C’est le réseau le plus proche des populations vulnérables et du pays profond», a soutenu le ministre des NTIC.
Avant d’indiquer qu’il attend avec beaucoup d’intérêt le rapport de la société française afin de le soumettre au gouvernement pour sa mise en application le plus rapidement possible.M. Hamed Bakayoko a aussi tenu à exprimer sa solidarité avec les travailleurs de la Poste ivoirienne. Qui vivent des moments difficiles. «Soyez forts, nous sommes en train de trouver des solutions durables. Mais surtout sortir de cette situation le plus rapidement possible», a-t-il commenté. Le directeur général de Sofrepost, M. Philippe Damon, lui, a insisté sur le fait que son équipe va travailler à apporter des solutions techniques adaptées au contexte ivoirien.
La signature du protocole d’accord entre la Poste de Côte d’Ivoire et son homologue de France s’est déroulée en présence du président du conseil d’administration de cette entreprise d’utilité publique ivoirienne, M. Bandaman Maurice.
Théodore Kouadio