Le ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, le magistrat Koné Mamadou procède au lancement officiel de la phase administrative et judiciaire de la reconstitution des registres d’état civil aujourd’hui, à la salle Anono de l’Hôtel du Golf à partir de 15h. Ce sera l’occasion pour le ministre de présenter le projet de reconstitution des registres. Et il présentera l’état des registres à reconstituer, c’est-à-dire, Koné Mmadou donnera la liste des registres disparus ou détruits à l’état civil dans les sous-préfectures, les mairies pour les originaux des registres et dans les tribunaux pour les doubles desdits registres.
Rappelons que dans le cadre des accords politiques signés pour sortir la Côte d’Ivoire de la crise, il a été recommandé que les registres soient reconstitués afin de permettre aux Ivoiriens de disposer de leurs pièces. Et, aussi engager la modernisation de l’état civil ivoirien.
En effet, des registres entiers ou des feuillets ont été entièrement, partiellement détruits ou ont disparu et cela pénalise bon nombre d’Ivoiriens. Aussi, dans ce processus de sortie de crise qui passe par des élections, la reconstitution des registres s’impose pour que tous les citoyens s’acquittent de leur droit de vote. Nul n’ignore donc que la reconstitution, constitue un pan important de l’enrôlement, une opération qui doit déboucher sur la délivrance des cartes d’identité et des cartes d’électeurs. Au moment où il est question de la fin de l’enrôlement, il était important que le ministre situe la communauté sur ce dossier.
Disons que la reconstitution a débuté par la phase de l’inventaire, de l’étiquetage pour avoir une nette idée des registres de 1900 à 2008 concernés par la reconstitution. Il reste à savoir si l’enrôlement tiendra compte de la reconstitution pour être arrêté. Parce que les deux sont intimement liés.
Benjamin Koré benjaminkore@yahoo.fr
Rappelons que dans le cadre des accords politiques signés pour sortir la Côte d’Ivoire de la crise, il a été recommandé que les registres soient reconstitués afin de permettre aux Ivoiriens de disposer de leurs pièces. Et, aussi engager la modernisation de l’état civil ivoirien.
En effet, des registres entiers ou des feuillets ont été entièrement, partiellement détruits ou ont disparu et cela pénalise bon nombre d’Ivoiriens. Aussi, dans ce processus de sortie de crise qui passe par des élections, la reconstitution des registres s’impose pour que tous les citoyens s’acquittent de leur droit de vote. Nul n’ignore donc que la reconstitution, constitue un pan important de l’enrôlement, une opération qui doit déboucher sur la délivrance des cartes d’identité et des cartes d’électeurs. Au moment où il est question de la fin de l’enrôlement, il était important que le ministre situe la communauté sur ce dossier.
Disons que la reconstitution a débuté par la phase de l’inventaire, de l’étiquetage pour avoir une nette idée des registres de 1900 à 2008 concernés par la reconstitution. Il reste à savoir si l’enrôlement tiendra compte de la reconstitution pour être arrêté. Parce que les deux sont intimement liés.
Benjamin Koré benjaminkore@yahoo.fr
