Deux mille policiers loyalistes vont être réaffectés à partir de cette semaine dans le nord de la Côte d`Ivoire, sous contrôle de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) depuis le coup d`Etat manqué de 2002, a-t-on appris jeudi de source officielle.
Ces 2.000 policiers, issus des rangs des Forces de défense et de sécurité
(FDS, loyalistes), vont être réaffectés "à partir de maintenant" dans ces
zones, a affirmé à l`AFP le directeur de cabinet du ministère de l`Intérieur,
Etienne Véhi Tokpa, sans plus de précision.
Cette décision s`inscrit "dans le cadre du redéploiement de
l`administration", a-t-il ajouté.
Les policiers, et plus généralement les fonctionnaires ivoiriens, avaient
fui les localités du nord de la Côte d`Ivoire tombées aux mains de
l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) en septembre 2002, à la suite du coup
d`Etat manqué contre le président Laurent Gbagbo.
Le camp présidentiel et les FN ont signé en mars 2007 à Ouagadougou un
accord de paix prévoyant la réunification du pays.
Censé intervenir "au plus tard le 15 janvier", selon l`accord
complémentaire signé fin décembre 2008, le retour effectif des fonctionnaires,
notamment des magistrats et auxiliaires de justice, est actuellement en cours.
Ces 2.000 policiers, issus des rangs des Forces de défense et de sécurité
(FDS, loyalistes), vont être réaffectés "à partir de maintenant" dans ces
zones, a affirmé à l`AFP le directeur de cabinet du ministère de l`Intérieur,
Etienne Véhi Tokpa, sans plus de précision.
Cette décision s`inscrit "dans le cadre du redéploiement de
l`administration", a-t-il ajouté.
Les policiers, et plus généralement les fonctionnaires ivoiriens, avaient
fui les localités du nord de la Côte d`Ivoire tombées aux mains de
l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) en septembre 2002, à la suite du coup
d`Etat manqué contre le président Laurent Gbagbo.
Le camp présidentiel et les FN ont signé en mars 2007 à Ouagadougou un
accord de paix prévoyant la réunification du pays.
Censé intervenir "au plus tard le 15 janvier", selon l`accord
complémentaire signé fin décembre 2008, le retour effectif des fonctionnaires,
notamment des magistrats et auxiliaires de justice, est actuellement en cours.