Le ministre de l'Economie et des Finances a pris part à la cérémonie de dédicace d'un ouvrage consacré au développement du pays.
«Défi du développement en Côte d'Ivoire». Tel est le titre de l'ouvrage de Paul Koffi Koffi, directeur-adjoint de cabinet du Premier ministre, chargé des programmes de sortie de crise. La dédicace de l'œuvre a eu lieu, lundi au Plateau, devant un parterre de personnalités du monde politique et des affaires. Le ministre de l'Economie et des Finances, Charles Koffi Diby, a indiqué que tout n'est pas perdu pour la Côte d'Ivoire. Car, se rassure t-il, elle a encore des ressorts pour jouer les premiers rôles dans la sous-région. «La Côte d'Ivoire peut rebondir. Elle est obligée de rebondir par rapport à ses fils et par rapport à l'espace Uemoa. Nous avons un rôle important de créateur de richesse dans l'espace Uemoa. Nous avons un rôle historique et nous devons l'assumer», a-t-il assené.
L'ouvrage paru chez les Editions l'Harmattan fait le bilan économique des 46 ans d'indépendance marqués par des périodes de croissance et de récession mais aussi par des crises politiques extrêmes dont le coup d'Etat du 24 décembre 1999, et la rébellion armée du 19 septembre 2002 qui ont eu des incidences graves sur l'activité économique.
Si le défi du retour de la paix est la préoccupation du moment, l'autre enjeu majeur, note Koffi Koffi, est celui du développement dans un monde plus ouvert, fait de compétition et tiré de plus en plus par l'Asie. Koffi Koffi, à travers cette œuvre, apporte sa contribution à la reconstruction économique. Le chargé des programmes de sortie de crise à la primature entretient l'espoir à travers une vision où la Côte d'Ivoire de demain est perçue comme une véritable puissance économique, la principale locomotive sous-régionale avec une stratégie basée sur quatre piliers: L'avènement d'abord d'un véritable Etat de droit, bien organisé et une économie efficacement régulée; puis la promotion et la valorisation des ressources humaines, des talents et des savoir-faire; ensuite le développement des infrastructures qui renforcent la compétitivité et débouche sur la mise en place d'une économie industrielle fortement importatrice de biens manufacturés, des services de qualité et une agriculture modernisée; et enfin l'ouverture et le positionnement extérieur dans un esprit d'élargissement du partenariat.
Tout cela est possible, a-t-il souligné, si le pays retrouve la paix, la cohésion, la sécurité, la démocratie, la bonne gouvernance…
K. Marras. D
«Défi du développement en Côte d'Ivoire». Tel est le titre de l'ouvrage de Paul Koffi Koffi, directeur-adjoint de cabinet du Premier ministre, chargé des programmes de sortie de crise. La dédicace de l'œuvre a eu lieu, lundi au Plateau, devant un parterre de personnalités du monde politique et des affaires. Le ministre de l'Economie et des Finances, Charles Koffi Diby, a indiqué que tout n'est pas perdu pour la Côte d'Ivoire. Car, se rassure t-il, elle a encore des ressorts pour jouer les premiers rôles dans la sous-région. «La Côte d'Ivoire peut rebondir. Elle est obligée de rebondir par rapport à ses fils et par rapport à l'espace Uemoa. Nous avons un rôle important de créateur de richesse dans l'espace Uemoa. Nous avons un rôle historique et nous devons l'assumer», a-t-il assené.
L'ouvrage paru chez les Editions l'Harmattan fait le bilan économique des 46 ans d'indépendance marqués par des périodes de croissance et de récession mais aussi par des crises politiques extrêmes dont le coup d'Etat du 24 décembre 1999, et la rébellion armée du 19 septembre 2002 qui ont eu des incidences graves sur l'activité économique.
Si le défi du retour de la paix est la préoccupation du moment, l'autre enjeu majeur, note Koffi Koffi, est celui du développement dans un monde plus ouvert, fait de compétition et tiré de plus en plus par l'Asie. Koffi Koffi, à travers cette œuvre, apporte sa contribution à la reconstruction économique. Le chargé des programmes de sortie de crise à la primature entretient l'espoir à travers une vision où la Côte d'Ivoire de demain est perçue comme une véritable puissance économique, la principale locomotive sous-régionale avec une stratégie basée sur quatre piliers: L'avènement d'abord d'un véritable Etat de droit, bien organisé et une économie efficacement régulée; puis la promotion et la valorisation des ressources humaines, des talents et des savoir-faire; ensuite le développement des infrastructures qui renforcent la compétitivité et débouche sur la mise en place d'une économie industrielle fortement importatrice de biens manufacturés, des services de qualité et une agriculture modernisée; et enfin l'ouverture et le positionnement extérieur dans un esprit d'élargissement du partenariat.
Tout cela est possible, a-t-il souligné, si le pays retrouve la paix, la cohésion, la sécurité, la démocratie, la bonne gouvernance…
K. Marras. D