Médias : organisation professionnelle - L’UPMCI en assemblée générale le 30 janvier

Une autre union dans le paysage des médias en Côte d’Ivoire. L’union des professionnels des médias de Côte d’Ivoire (UPMCI) tiendra son assemblée générale constitutive le vendredi 30 janvier à l’Institut des Sciences et techniques de la communication (ISTC) situé à Cocody. Cette nouvelle union se veut le creuset où se retrouvent tous les secteurs et activités professionnelles du monde de la communication et des médias laissés pour compte par l’union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI). Les membres fondateurs de l’UPMCI étaient dans les locaux de votre quotidien préféré lundi dernier. Pour, disent-ils, présenter le nouvel outil au personnel. La délégation, conduite par Soumahoro Ahmed alias Soum Saint-Félix qu’accompagnaient Philippe Kohon et Traoré William, a expliqué les nobles objectifs que s’assignent l’UPMCI . Après la traditionnelle bienvenue du rédacteur en chef Koré Emmanuel qui avait à ses cotés le directeur de publication Coulibaly Sounkalo, Soum Saint-Félix a présenté la nouvelle structure qui sera véritablement viable après l’AG du 30 janvier. Il a indiqué d’entrée que la nouvelle union ne vient pas en challenger de la vieille union qu’est l’UNJCI, plutôt en complément. « Elle va regrouper les acteurs des secteurs des médias qui ne sont pas forcément des journalistes, les cadreurs, les infographes, les photographes, les animateurs, les attachés de presse, les assistants de réalisation…. Soit près de 40 professions» a précisé Soum Saint-Félix. Avant de situer les objectifs de l’UPMCI à savoir, améliorer l’image de marque de ces professionnels et par ricochet leur condition de vie sans être un syndicat. Rappelons qu’un comité ad hoc a été mis sur pied par les membres fondateurs. Il a sillonné l’intérieur du pays du 24 au 26 novembre dernier pour porter la nouvelle aux correspondants de presse, aux animateurs des radios rurales. « Tous les professionnels des médias sont donc conviés à cette AG constitutive », a conclu Soum Saint-Félix.

Moussa Kéita