L’avocat de l’Emu-ci a réagi aux accusations portées contre le Bishop Boni.
En tant que conseil de l’Emu-ci, je n’ai pas connaissance, à ce jour, d’une procédure ajournée au 10 février, qui serait engagée contre le Bishop Boni et l’Eglise méthodiste unie de Côte d’Ivoire (Emu-ci). En conséquence, je ne peux parler d’un dossier qui n’existe pas». C’est la réponse que nous a fait parvenir, hier, par écrit, Me Anne Solo Paclio, l’avocat conseil de l’Emu-ci. Et cela, à la suite de nos appels pour avoir sa réaction à la conférence de presse, animée la veille par la coordination des laïcs de l’Eglise protestante méthodiste de Côte d’Ivoire (Epmci) et l’un de leurs avocats conseil, Me Takoré Guizot Bernard. Une conférence au cours de laquelle les journalistes ont été informés de ce que le Bishop Benjamin Boni est cité à comparaître devant le tribunal correctionnel d’Abidjan, le 10 février prochain pour faux et usage de faux.
Me Anne Solo Paclio a déclaré : «Au cas où une action serait intentée ultérieurement, nous répliquerons point par point aux arguments juridiques soulevés, ce, devant la juridiction saisie». tout en soulignant qu’elle ne répondra ni ne commentera des propos tenus lors d’une conférence de presse.
Marie-Adèle Djidjé
En tant que conseil de l’Emu-ci, je n’ai pas connaissance, à ce jour, d’une procédure ajournée au 10 février, qui serait engagée contre le Bishop Boni et l’Eglise méthodiste unie de Côte d’Ivoire (Emu-ci). En conséquence, je ne peux parler d’un dossier qui n’existe pas». C’est la réponse que nous a fait parvenir, hier, par écrit, Me Anne Solo Paclio, l’avocat conseil de l’Emu-ci. Et cela, à la suite de nos appels pour avoir sa réaction à la conférence de presse, animée la veille par la coordination des laïcs de l’Eglise protestante méthodiste de Côte d’Ivoire (Epmci) et l’un de leurs avocats conseil, Me Takoré Guizot Bernard. Une conférence au cours de laquelle les journalistes ont été informés de ce que le Bishop Benjamin Boni est cité à comparaître devant le tribunal correctionnel d’Abidjan, le 10 février prochain pour faux et usage de faux.
Me Anne Solo Paclio a déclaré : «Au cas où une action serait intentée ultérieurement, nous répliquerons point par point aux arguments juridiques soulevés, ce, devant la juridiction saisie». tout en soulignant qu’elle ne répondra ni ne commentera des propos tenus lors d’une conférence de presse.
Marie-Adèle Djidjé