Le Cameroun et le Ghana s’affronteront demain après-midi au stade national Amahoro de Kigali, au Rwanda, en finale de la 16e édition de la coupe d’Afrique des nations des moins de 20 ans. Une finale inédite entre Lionceaux et Black Starlets qui va sûrement permettre au continent d’apprécier deux styles de jeu. Il s’agit du jeu physique et direct des Camerounais et de celui fait de beaux gestes techniques des Ghanéens. D’ailleurs, ces deux équipes, les seules à n’avoir pas enregistré de défaite depuis le début du tournoi de Kigali, ont déjà offert un échantillon du spectacle qu’elles comptent produire au public rwandais et africain. Les deux équipes ont fait match nul (1-1) lors de la première journée du groupe A, le 18 janvier dernier. Mais dans ce duel ultime, les jeunes Ghanéens partent avec un léger avantage psychologique. Dans la mesure où ils ont dominé Maliens et Rwandais sur un score identique (2-0). Alors que les Camerounais ont coincé (1-1) face à aux rwandais. Même si par la suite, les Lionceaux ont étrillé les Aiglons maliens (3-0), toujours est-il qu’ils ont terminé deuxième de la poule, derrière les Ghanéens.
Mais le sport, le football singulièrement, ne respecte aucune logique. Le match d’aujourd’hui est différent de celui de demain. C’est d’ailleurs tout le charme de ce sport et cette finale ne va pas déroger à la règle. Il appartient à Andrew Ayew, Osei et leurs petits camarades de savoir saisir leurs chances pour hisser le Ghana sur le toit continental. Mais attention! Les Lionceaux ont faim. Ils ne voudront pour rien au monde baisser les bras si près du but. Ils ne manquent pas d’arguments. Tiko Messina et Ekeng Ekeng, les fers de lance de cette machine camerounaise, ont juré de succéder aux Congolais. Avant la grande finale, la belle équipe d’Afrique du Sud dispute la troisième place face au Nigeria ce samedi au stade régional.
Paul Bagnini
Mais le sport, le football singulièrement, ne respecte aucune logique. Le match d’aujourd’hui est différent de celui de demain. C’est d’ailleurs tout le charme de ce sport et cette finale ne va pas déroger à la règle. Il appartient à Andrew Ayew, Osei et leurs petits camarades de savoir saisir leurs chances pour hisser le Ghana sur le toit continental. Mais attention! Les Lionceaux ont faim. Ils ne voudront pour rien au monde baisser les bras si près du but. Ils ne manquent pas d’arguments. Tiko Messina et Ekeng Ekeng, les fers de lance de cette machine camerounaise, ont juré de succéder aux Congolais. Avant la grande finale, la belle équipe d’Afrique du Sud dispute la troisième place face au Nigeria ce samedi au stade régional.
Paul Bagnini
