La nouvelle de la mort de Diégou Bailly a été durement ressentie par les journalistes ivoiriens. Surtout les dirigeants des organes de régulation et d'auto régulation de la presse. Ainsi que les syndicats et associations dudit secteur. Ici, tous reconnaissent au président du Conseil national de la communication et de l'audio-visuel (CNCA) son professionnalisme. Son amour pour ce métier, un grand formateur.
Guillaume Gbato (SG syndicat national des agents de la Presse privée de Côte d'Ivoire SYNAPPCI)
“C'est une grosse perte”
C'est une grosse perte. Diégou Bailly est le meilleur journaliste de tous les temps. C'est un pionnier, un très bon journaliste. C'est une référence, il était à la fois journaliste, écrivain, dramaturge. En somme, c'est un expert. Le SYNAPPCI présente ses sincères condoléance à sa famille et à l'ensemble de la presse. C'est dommage.
Amos Beonaho (président de l'Union nationale des journalistes de Côte d'Ivoire UNJCI)
“Je suis attristé, c'est une énorme perte”
Je suis attristé, c'est une énorme perte pour la presse ivoirienne, pour toute la Côte d'Ivoire et pour toute la presse africaine. Diégou Bailly est un grand intellectuel, un formateur, un grand journaliste. Il est membre fondateur de l'UNJCI, président du Conseil national de la communication et de l'audio-visuel (CNCA), membre influent de toutes les instances des médias en Afrique. Beaucoup de journalistes ont bénéficié de ses connaissances. Diégou Bailly avait des idées fortes. Il avait le courage de ses pensées, de ses opinions. Je suis choqué par sa mort. Je présente mes condoléances à sa famille, à tous ses amis, à tout le monde.
Eugène Dié Kacou (président de la Commission nationale de la presse CNP)
“C'est une grosse perte pour la presse”
C'est l'un des plus grands journalistes de ces derniers temps. C'est une grosse perte pour la presse. Il a été président de l'UNJCI; le code de déontologie c'est sous Diégou Bailly. Le président du CNCA n'était pas seulement un collègue, mais aussi un petit frère que j'ai connu dans la lutte. J'ai fait Séguéla et lui, Daloa. Je présente mes condoléances à sa femme qui est une brave épouse. Je suis choqué. Sa mort est une perte incommensurable pour la presse ivoirienne.
Sangaré Aboulaye (membre du Groupement des Editeurs de la presse de Côte d'Ivoire)
“Diégou Bailly est un grand professionnel”
J'ai appris la nouvelle avec beaucoup de tristesse. Diégou Bailly est un grand professionnel. On a beaucoup appris à ses côtés. En tant que membre du GEPCI, c'est une grande tristesse que mes collègues et moi ressentons. Le président du CNCA a été de ceux qui ont creusé les fondements et les sous bassements de la presse ivoirienne. Il a fait ses armes avec d'autres grands journalistes tels que Jean Pierre Ayié, Eugène Dié Kacou, Yao Noël etc. Il fait partie des pères fondateurs des organisations professionnelles à commencer par l'UNJCI et l'OLPED. Diégou Bailly a été aussi un grand formateur, un militant de la convention collective, un des inspirateurs de la réforme au niveau du régime juridique de la presse. Au nom du GEPCI, je lui rends hommage. Que Dieu ait pitié de son âme.
Propos recueillis par Djè KM
Guillaume Gbato (SG syndicat national des agents de la Presse privée de Côte d'Ivoire SYNAPPCI)
“C'est une grosse perte”
C'est une grosse perte. Diégou Bailly est le meilleur journaliste de tous les temps. C'est un pionnier, un très bon journaliste. C'est une référence, il était à la fois journaliste, écrivain, dramaturge. En somme, c'est un expert. Le SYNAPPCI présente ses sincères condoléance à sa famille et à l'ensemble de la presse. C'est dommage.
Amos Beonaho (président de l'Union nationale des journalistes de Côte d'Ivoire UNJCI)
“Je suis attristé, c'est une énorme perte”
Je suis attristé, c'est une énorme perte pour la presse ivoirienne, pour toute la Côte d'Ivoire et pour toute la presse africaine. Diégou Bailly est un grand intellectuel, un formateur, un grand journaliste. Il est membre fondateur de l'UNJCI, président du Conseil national de la communication et de l'audio-visuel (CNCA), membre influent de toutes les instances des médias en Afrique. Beaucoup de journalistes ont bénéficié de ses connaissances. Diégou Bailly avait des idées fortes. Il avait le courage de ses pensées, de ses opinions. Je suis choqué par sa mort. Je présente mes condoléances à sa famille, à tous ses amis, à tout le monde.
Eugène Dié Kacou (président de la Commission nationale de la presse CNP)
“C'est une grosse perte pour la presse”
C'est l'un des plus grands journalistes de ces derniers temps. C'est une grosse perte pour la presse. Il a été président de l'UNJCI; le code de déontologie c'est sous Diégou Bailly. Le président du CNCA n'était pas seulement un collègue, mais aussi un petit frère que j'ai connu dans la lutte. J'ai fait Séguéla et lui, Daloa. Je présente mes condoléances à sa femme qui est une brave épouse. Je suis choqué. Sa mort est une perte incommensurable pour la presse ivoirienne.
Sangaré Aboulaye (membre du Groupement des Editeurs de la presse de Côte d'Ivoire)
“Diégou Bailly est un grand professionnel”
J'ai appris la nouvelle avec beaucoup de tristesse. Diégou Bailly est un grand professionnel. On a beaucoup appris à ses côtés. En tant que membre du GEPCI, c'est une grande tristesse que mes collègues et moi ressentons. Le président du CNCA a été de ceux qui ont creusé les fondements et les sous bassements de la presse ivoirienne. Il a fait ses armes avec d'autres grands journalistes tels que Jean Pierre Ayié, Eugène Dié Kacou, Yao Noël etc. Il fait partie des pères fondateurs des organisations professionnelles à commencer par l'UNJCI et l'OLPED. Diégou Bailly a été aussi un grand formateur, un militant de la convention collective, un des inspirateurs de la réforme au niveau du régime juridique de la presse. Au nom du GEPCI, je lui rends hommage. Que Dieu ait pitié de son âme.
Propos recueillis par Djè KM