ABIDJAN - Les enseignants des lycées et collèges de Côte d'Ivoire ont annoncé lundi avoir suspendu leur grève lancée il y a une dizaine de jours pour réclamer une hausse des salaires, a-t-on appris de source syndicale.
"Après dix jours de grève, suivie à plus de 95% sur tout le territoire national, nous avons décidé de marquer une pause d'une semaine", a déclaré à l'AFP le secrétaire général du Syndicat national des enseignants du secondaire de Côte d'Ivoire (Synesci), Mamadou Soro.
"Le samedi 7 février, nous irons en assemblée générale pour faire le point (de la grève) avec nos bases et dégager les perspectives", a ajouté M. Soro, soulignant toutefois que "la rétention des notes et copies continue".
Le syndicat réclame notamment une augmentation de 250.000 FCFA (381 euros) par enseignant. Le salaire mensuel d'un enseignant se situe entre 330 et 425 euros.
Le 26 janvier, le Synesci avait durci le mouvement, une vingtaine d'enseignants entamant une "grève de la faim" à Bouaké (centre), deuxième ville du pays et quartier général de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN).
"Après dix jours de grève, suivie à plus de 95% sur tout le territoire national, nous avons décidé de marquer une pause d'une semaine", a déclaré à l'AFP le secrétaire général du Syndicat national des enseignants du secondaire de Côte d'Ivoire (Synesci), Mamadou Soro.
"Le samedi 7 février, nous irons en assemblée générale pour faire le point (de la grève) avec nos bases et dégager les perspectives", a ajouté M. Soro, soulignant toutefois que "la rétention des notes et copies continue".
Le syndicat réclame notamment une augmentation de 250.000 FCFA (381 euros) par enseignant. Le salaire mensuel d'un enseignant se situe entre 330 et 425 euros.
Le 26 janvier, le Synesci avait durci le mouvement, une vingtaine d'enseignants entamant une "grève de la faim" à Bouaké (centre), deuxième ville du pays et quartier général de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN).