Kébé Yacouba (Ancien D.G de la RTI) : " Il avait une plume délicieuse"
“Notre génération perd un de ses plus talentueux journalistes. Une plume délicieuse qui a fait le succès et la notoriété de journaux comme Ivoire Dimanche, Le Nouvel Horizon, Notre Temps, et le Jour. Le journalisme était pour lui plus qu’un métier : une passion. Que les générations montantes s’inspirent de son talent et de son professionnalisme. Mes condoléances à son épouse et à sa famille. ”
Maurice Lohourignon (Ancien journaliste) : "J’ai perdu un ami et un frère"
“Je suis très touché par cette nouvelle. Je suis triste. J’ai perdu un ami, un frère, un maître. C’est lui Diégou qui m’a fait venir dans la presse et c’est lui qui m’a encadré. La Côte d’Ivoire pleure un grand homme. La Côte d’Ivoire pleure un grand combattant. Nous avons été avec lui jusqu’à la dernière minute à l’hôpital avant son départ pour Tunis. Nous avions espéré qu’il revienne, mais le sort en a décidé autrement. Je suis vraiment triste”.
Franck Anderson Kouassi (Secrétaire général du CNCA) : “Je suis sans voix”
“Je suis encore sous le choc. Vous savez ce que Diégou représentait pour moi. Actuellement, je n’ai pas de réaction. Je suis sans voix”.
Amos Beonaho (Président de l’UNJCI) : “C’est une grande perte”
“Je suis choqué et très attristé par la disparition de Diégou Bailly. C’est une grande perte pour la presse ivoirienne et pour la Côte d’Ivoire entière. Grand formateur, éditorialiste de talent, Diégou a fait le journalisme avec beaucoup de professionnalisme. Membre fondateur de l’UNJCI, il en fut le deuxième président après Yao Noël. C’est avec regret que nous qui prenons souvent conseil auprès de lui, avons appris la nouvelle de son décès. Nos condoléances à sa famille”.
Propos recueillis par Augustin Kouyo
“Notre génération perd un de ses plus talentueux journalistes. Une plume délicieuse qui a fait le succès et la notoriété de journaux comme Ivoire Dimanche, Le Nouvel Horizon, Notre Temps, et le Jour. Le journalisme était pour lui plus qu’un métier : une passion. Que les générations montantes s’inspirent de son talent et de son professionnalisme. Mes condoléances à son épouse et à sa famille. ”
Maurice Lohourignon (Ancien journaliste) : "J’ai perdu un ami et un frère"
“Je suis très touché par cette nouvelle. Je suis triste. J’ai perdu un ami, un frère, un maître. C’est lui Diégou qui m’a fait venir dans la presse et c’est lui qui m’a encadré. La Côte d’Ivoire pleure un grand homme. La Côte d’Ivoire pleure un grand combattant. Nous avons été avec lui jusqu’à la dernière minute à l’hôpital avant son départ pour Tunis. Nous avions espéré qu’il revienne, mais le sort en a décidé autrement. Je suis vraiment triste”.
Franck Anderson Kouassi (Secrétaire général du CNCA) : “Je suis sans voix”
“Je suis encore sous le choc. Vous savez ce que Diégou représentait pour moi. Actuellement, je n’ai pas de réaction. Je suis sans voix”.
Amos Beonaho (Président de l’UNJCI) : “C’est une grande perte”
“Je suis choqué et très attristé par la disparition de Diégou Bailly. C’est une grande perte pour la presse ivoirienne et pour la Côte d’Ivoire entière. Grand formateur, éditorialiste de talent, Diégou a fait le journalisme avec beaucoup de professionnalisme. Membre fondateur de l’UNJCI, il en fut le deuxième président après Yao Noël. C’est avec regret que nous qui prenons souvent conseil auprès de lui, avons appris la nouvelle de son décès. Nos condoléances à sa famille”.
Propos recueillis par Augustin Kouyo
