Abidjan - La star ivoirienne du reggae, Alpha Blondy, s’est félicité mercredi, dans un entretien à APA, des progrès enregistrés par l’accord politique de Ouagadougou signé le 4 mars 2007 par le camp présidentiel et l’ex-rébellion, et appelé à l’organisation d’élection présidentielle sans violence.
"Les accords de Ouagadougou ont permis de parler d’élection, d’enrôlement, et de l’unicité des caisses de l’Etat et de parler de date éventuelle pour les élections », s’est réjoui Alpha Blondy.
« Je crois que ma mission à moi était de faire taire les armes parce que les politiques ne peuvent pas se parler tant que les armes se parlaient », a-t-il ajouté en se déclarant « optimiste » pour l’avenir du pays.
« Aujourd’hui, je suis optimiste et en même temps, je prie pour que les élections se passent sans violence parce qu’aujourd’hui vous savez bien qu’en Afrique c’est bien connu, il y a toujours trois vainqueurs ou deux vainqueurs au moins », a regretté Alpha Blondy.
« Je voudrais dire aux Ivoiriens qu’on peut être adversaires sans être ennemis. Il est grand temps que nous renouions avec un processus démocratique vrai et que nous soyons ce modèle que nous avons toujours été. Je compte sur toute la famille politique ivoirienne », a-t-il conclu.
Coupée en deux depuis le 19 septembre 2002 par une rébellion armée après l’échec de son coup de force contre le régime du président Laurent Gbagbo, la Côte d’Ivoire entend organiser cette année, une élection présidentielle très attendue et dont la date reste toujours à déterminer.
LS/aft/APA
"Les accords de Ouagadougou ont permis de parler d’élection, d’enrôlement, et de l’unicité des caisses de l’Etat et de parler de date éventuelle pour les élections », s’est réjoui Alpha Blondy.
« Je crois que ma mission à moi était de faire taire les armes parce que les politiques ne peuvent pas se parler tant que les armes se parlaient », a-t-il ajouté en se déclarant « optimiste » pour l’avenir du pays.
« Aujourd’hui, je suis optimiste et en même temps, je prie pour que les élections se passent sans violence parce qu’aujourd’hui vous savez bien qu’en Afrique c’est bien connu, il y a toujours trois vainqueurs ou deux vainqueurs au moins », a regretté Alpha Blondy.
« Je voudrais dire aux Ivoiriens qu’on peut être adversaires sans être ennemis. Il est grand temps que nous renouions avec un processus démocratique vrai et que nous soyons ce modèle que nous avons toujours été. Je compte sur toute la famille politique ivoirienne », a-t-il conclu.
Coupée en deux depuis le 19 septembre 2002 par une rébellion armée après l’échec de son coup de force contre le régime du président Laurent Gbagbo, la Côte d’Ivoire entend organiser cette année, une élection présidentielle très attendue et dont la date reste toujours à déterminer.
LS/aft/APA