starafric - L’été dernier, après un an de bourrasque entre Paris Saint-Germain et Al Jazira, Bonaventure Kalou a regagné les Pays-Bas et le SC Heerenveen. Le très talentueux attaquant ivoirien a retrouvé tranquillité et joie de jouer dans un pays qu’il porte dans son cœur et qui l’a révélé. L’ancien Parisien revient ainsi, dans cette interview, sur ses six mois au SC Heerenveen et affiche son envie de disputer le Mondial 2010 en compagnie de son cadet Salomon de Chelsea.
Salut Bona, comment vas-tu ?
Je vais très bien.
Plus de six mois après ton arrivée à Heerenveen, comment analyses-tu l’évolution des choses pour toi ?
Les choses vont bien pour moi. C’est vrai que j’ai eu une intégration un peu difficile au niveau du club. Mais, les choses sont progressivement rentrées dans l’ordre. Aujourd’hui, je me sens très bien dans l’équipe.
Tes performances sont-elles à la hauteur des espérances de tes dirigeants ?
Là, il faudra le leur demander. Mais, moi j’essaie de toujours donner le meilleur de moi-même. Je fais mon boulot avec la plus grande application. Je sais que si les dirigeants de Heerenveen m’ont fait appel, c’est parce qu’ils attendent beaucoup de moi. Ils savent aussi ce que je peux apporter à leur équipe. Honnêtement, je pense que je peux mieux faire. J’exige toujours plus de moi.
A ton arrivée, as-tu été confronté à des problèmes ?
Pas spécialement. De toute façon, j’étais heureux de retourner aux Pays-Bas. Vous n’êtes pas sans ignorer que c’est ici que l’Europe m’a découvert. Avec le Feyenoord, j’ai même remporté une Coupe d’Europe. Mon problème se situait surtout à mon niveau. Je manquais de compétition. J’ai donc dû travailler très dur pour trouver une forme optimale. Aujourd’hui, je me sens en pleine possession de mes moyens physiques et je me sens mieux sur le terrain.
Quelle a été ta plus grande joie depuis ton arrivée à Heerenveen ?
C’est d’abord le fait d’avoir retrouvé la compétition. Le plaisir de m’entrainer et de jouer. Cela commençait à me manquer terriblement. Et puis, j’ai retrouvé les compétitions européennes, notamment la Coupe UEFA. Où on a pu croiser des équipes comme le Milan AC par exemple.
Aujourd’hui, penses-tu avoir fait le meilleur choix en optant pour Heerenveen ?
Bien avant même d’y aller, j’étais convaincu que je faisais le meilleur choix. Je ne voulais plus jouer en France. Quoi qu’il arrivait, je ne me voyais plus jouer en France. Heerenveen est un club qui me va et qui me permet de revenir à mon meilleur niveau.
Finalement, qu’est-ce qui te manque aux Pays-Bas ?
C’est la présence quotidienne de ma famille. Mes enfants vont à l’école à Paris. Mais, chaque fois que j’ai le temps on se retrouve. Ma famille est ce qui me coûte de plus cher au monde.
Tu as tiré un trait sur les Eléphants ?
Non. On ne peut pas comme ça tirer un trait sur l’équipe nationale de son pays. Les Eléphants resteront toujours dans une partie de mon cœur. C’est une équipe que j’ai fréquenté pendant longtemps et où j’ai de mes meilleurs amis. Je ne peux oublier les Eléphants.
Tu te verrais alors au Mondial 2010 ?
Cela me ferait énormément plaisir. Mais, il faut pour cela que je sois convoqué par le sélectionneur.
Ce serait une belle façon de prendre ta retraite internationale ?
Pour le moment, je ne pense pas à la retraite. Je veux continuer à prendre beaucoup de plaisir.
Que penses-tu de l’évolution de ton jeune frère Salomon ?
Je pense qu’il a tout pour être l’un de meilleurs au monde. Lui, il est plus talentueux que moi. Il est promis à très bel avenir.
Ce serait formidable que vous disputer le Mondial 2010 ensemble. N’est-ce pas ?
On a toujours rêvé l’un et l’autre de jouer ensemble en équipe nationale. Si cela devait arriver en 2010 ou bien avant, ce serait formidable. Dans le cas contraire, je serai son premier supporter comme je l’ai toujours été.
Sport Ivoire
Salut Bona, comment vas-tu ?
Je vais très bien.
Plus de six mois après ton arrivée à Heerenveen, comment analyses-tu l’évolution des choses pour toi ?
Les choses vont bien pour moi. C’est vrai que j’ai eu une intégration un peu difficile au niveau du club. Mais, les choses sont progressivement rentrées dans l’ordre. Aujourd’hui, je me sens très bien dans l’équipe.
Tes performances sont-elles à la hauteur des espérances de tes dirigeants ?
Là, il faudra le leur demander. Mais, moi j’essaie de toujours donner le meilleur de moi-même. Je fais mon boulot avec la plus grande application. Je sais que si les dirigeants de Heerenveen m’ont fait appel, c’est parce qu’ils attendent beaucoup de moi. Ils savent aussi ce que je peux apporter à leur équipe. Honnêtement, je pense que je peux mieux faire. J’exige toujours plus de moi.
A ton arrivée, as-tu été confronté à des problèmes ?
Pas spécialement. De toute façon, j’étais heureux de retourner aux Pays-Bas. Vous n’êtes pas sans ignorer que c’est ici que l’Europe m’a découvert. Avec le Feyenoord, j’ai même remporté une Coupe d’Europe. Mon problème se situait surtout à mon niveau. Je manquais de compétition. J’ai donc dû travailler très dur pour trouver une forme optimale. Aujourd’hui, je me sens en pleine possession de mes moyens physiques et je me sens mieux sur le terrain.
Quelle a été ta plus grande joie depuis ton arrivée à Heerenveen ?
C’est d’abord le fait d’avoir retrouvé la compétition. Le plaisir de m’entrainer et de jouer. Cela commençait à me manquer terriblement. Et puis, j’ai retrouvé les compétitions européennes, notamment la Coupe UEFA. Où on a pu croiser des équipes comme le Milan AC par exemple.
Aujourd’hui, penses-tu avoir fait le meilleur choix en optant pour Heerenveen ?
Bien avant même d’y aller, j’étais convaincu que je faisais le meilleur choix. Je ne voulais plus jouer en France. Quoi qu’il arrivait, je ne me voyais plus jouer en France. Heerenveen est un club qui me va et qui me permet de revenir à mon meilleur niveau.
Finalement, qu’est-ce qui te manque aux Pays-Bas ?
C’est la présence quotidienne de ma famille. Mes enfants vont à l’école à Paris. Mais, chaque fois que j’ai le temps on se retrouve. Ma famille est ce qui me coûte de plus cher au monde.
Tu as tiré un trait sur les Eléphants ?
Non. On ne peut pas comme ça tirer un trait sur l’équipe nationale de son pays. Les Eléphants resteront toujours dans une partie de mon cœur. C’est une équipe que j’ai fréquenté pendant longtemps et où j’ai de mes meilleurs amis. Je ne peux oublier les Eléphants.
Tu te verrais alors au Mondial 2010 ?
Cela me ferait énormément plaisir. Mais, il faut pour cela que je sois convoqué par le sélectionneur.
Ce serait une belle façon de prendre ta retraite internationale ?
Pour le moment, je ne pense pas à la retraite. Je veux continuer à prendre beaucoup de plaisir.
Que penses-tu de l’évolution de ton jeune frère Salomon ?
Je pense qu’il a tout pour être l’un de meilleurs au monde. Lui, il est plus talentueux que moi. Il est promis à très bel avenir.
Ce serait formidable que vous disputer le Mondial 2010 ensemble. N’est-ce pas ?
On a toujours rêvé l’un et l’autre de jouer ensemble en équipe nationale. Si cela devait arriver en 2010 ou bien avant, ce serait formidable. Dans le cas contraire, je serai son premier supporter comme je l’ai toujours été.
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