Xinhua - Les Nations Unis vont aider à réinstaller d'anciens combattans en Côte d'Ivoire et des membres des forces d'autodéfense pour qu'ils puissent se réadapter à la vie civile, a déclaré vendredi Michèle Montas, porte-parole de l'ONU.
La Mission de l'ONU en Côte d'Ivoire, le Programme des Nations unies pour le développement et l'Office international pour la migration appliquent conjointement le programme de réintégration, a indiqué la porte-parole aux journalistes au siège de l'ONU à New York.
Soutenu par le Fonds de maintien de la paix, ce programme de six mois offrira une formation profesionnelle et une assistance aux projets pour quelque 1.300 individuels, a ajouté la porte-parole.
Jusqu'à présent, 10.000 anciens combattants ont été désarmés dans ce pays ouest-africain, et 35.000 combattants et 20.000 membres des groupes d'autodéfense attentent leur retour.
La Côte d'Ivoire, un important pays producteur de cacao dans le monde, reste divisée entre le nord, contrôlé par les rebelles, et le sud, par les forces du gouvernement depuis une tentative de putsch contre le président Laurent Gbagbo en septembre 2002. En mars 2007, un accord de paix a été conclu pour mettre fin au conflit.
La Mission de l'ONU en Côte d'Ivoire, le Programme des Nations unies pour le développement et l'Office international pour la migration appliquent conjointement le programme de réintégration, a indiqué la porte-parole aux journalistes au siège de l'ONU à New York.
Soutenu par le Fonds de maintien de la paix, ce programme de six mois offrira une formation profesionnelle et une assistance aux projets pour quelque 1.300 individuels, a ajouté la porte-parole.
Jusqu'à présent, 10.000 anciens combattants ont été désarmés dans ce pays ouest-africain, et 35.000 combattants et 20.000 membres des groupes d'autodéfense attentent leur retour.
La Côte d'Ivoire, un important pays producteur de cacao dans le monde, reste divisée entre le nord, contrôlé par les rebelles, et le sud, par les forces du gouvernement depuis une tentative de putsch contre le président Laurent Gbagbo en septembre 2002. En mars 2007, un accord de paix a été conclu pour mettre fin au conflit.