Les affréteurs et chargeurs pour défendre leurs intérêts, faire connaître leur profession, et la valoriser en sortant de l’informel ont créé le Groupement des affréteurs et chargeurs de Côte d’Ivoire (GACCI).
Cette organisation, qui se veut un groupement d’intérêts économiques (GIE), a été présentée à la presse récemment, à l’occasion du lancement de ses activités qui s’est tenu à son siège, situé à la nouvelle gare d’Adjamé Nord, site de la gare Fandasso. “L’observateur attribue l’approvisionnement en marchandises des différentes localités aux transporteurs, ignorant que le chargeur a groupé les marchandises dans la gare, a affrété un camion, et a chargé la cargaison pour la faire conduire sur un itinéraire ponctué de localités à desservir sous sa responsabilité. Notre objectif est d’informer, former et sensibiliser la population sur le rôle que jouent les acteurs des transports routiers de marchandises, en dépit des risques de racket, d’agressions des coupeurs de route”, a relevé Doukouré Bakary, président du GACCI.
Selon lui, un certain nombre de mesures a été mis en place pour faciliter l’acheminement des marchandises. Notamment un document accompagnant la cargaison dans lequel est listé l’ensemble des marchandises des convois, et qui devra être certifié par la douane une assurance marchandise et une escorte pour les convois qui le nécessitent.
A court et à long terme, l’organisation envisage l’ouverture de bureaux de fret dans 19 grands centres du pays et l’informatisation du système de transport de cargaisons.
Par ailleurs, le président Doukouré a indiqué que le GACCI n’est pas un concurrent de l’Office ivoirien des chargeurs (OIC), mais un collaborateur avec qui il entend travailler en parfaite intelligence. “L’OIC gère le flux de transferts et nous, nous nous limitons à l’affrètement et au chargement de véhicules”, a-t-il précisé.
Djè Abel
Cette organisation, qui se veut un groupement d’intérêts économiques (GIE), a été présentée à la presse récemment, à l’occasion du lancement de ses activités qui s’est tenu à son siège, situé à la nouvelle gare d’Adjamé Nord, site de la gare Fandasso. “L’observateur attribue l’approvisionnement en marchandises des différentes localités aux transporteurs, ignorant que le chargeur a groupé les marchandises dans la gare, a affrété un camion, et a chargé la cargaison pour la faire conduire sur un itinéraire ponctué de localités à desservir sous sa responsabilité. Notre objectif est d’informer, former et sensibiliser la population sur le rôle que jouent les acteurs des transports routiers de marchandises, en dépit des risques de racket, d’agressions des coupeurs de route”, a relevé Doukouré Bakary, président du GACCI.
Selon lui, un certain nombre de mesures a été mis en place pour faciliter l’acheminement des marchandises. Notamment un document accompagnant la cargaison dans lequel est listé l’ensemble des marchandises des convois, et qui devra être certifié par la douane une assurance marchandise et une escorte pour les convois qui le nécessitent.
A court et à long terme, l’organisation envisage l’ouverture de bureaux de fret dans 19 grands centres du pays et l’informatisation du système de transport de cargaisons.
Par ailleurs, le président Doukouré a indiqué que le GACCI n’est pas un concurrent de l’Office ivoirien des chargeurs (OIC), mais un collaborateur avec qui il entend travailler en parfaite intelligence. “L’OIC gère le flux de transferts et nous, nous nous limitons à l’affrètement et au chargement de véhicules”, a-t-il précisé.
Djè Abel
