Je suis monsieur x. Je suis né dans une famille évangélique mais ma proximité avec des pratiquants de la religion musulmane a fait naître en moi la volonté de devenir musulman. Depuis environ 20 ans je me suis converti et j'ai eu la chance d'avoir une femme musulmane. Fidèle lecteur d'Islam Info, mon histoire semblera vraisemblable pour certains mais je l'ai vécue et la vis toujours.
J'ai eu la chance d'avoir des parents qui se souciaient beaucoup de notre avenir scolaire. J'ai fréquenté dans les plus grandes écoles des villes ou nous avons été. Il faut dire que j'étais très brillant. Ainsi, à 17 ans j'ai obtenu mon baccalauréat avec mention très bien. Mon père a voulu que j'aille continuer mes études en Europe afin de revenir avec un maximum de bagage intellectuel. Mes premières années ont été terribles. Il fallait trouver un emploi et suivre en même temps les cours. Au fil du temps, les choses ont fini par s'améliorer. Trois ans après, mon arrivée en Suisse, à la suite d'un bilan de santé, il m'a été révélé que je n'allais jamais avoir la chance de faire un enfant. A vrai dire, au début, je n'ai accordé aucune importance à cette révélation mais pour être plus sûr je suis allé voir un autre médecin. C'était comme si les deux médecins s'étaient passés le mot. Les mêmes anomalies avaient étés décelées. Après mes études, je me suis marié à une charmante fille. Cette dernière m'a donné beaucoup de bonheur, mais notre foyer a failli sombrer, faute d'enfant. Après trois ans de mariage, nous n'avions pas d'enfant. Nos parents se plaignaient. La faute a été rejeté sur ma femme. Mes parents commençaient à la traiter de stérile. Vous êtes sans ignorer l'importance d'un enfant dans nos familles africaines. Je savais que j'avais un problème mais ma foi en Allah le Créateur était si forte que j'espérais. J'ai gardé le secret. Je craignais de perdre ma femme si je lui avouais mon handicap. Ainsi, un matin alors que je m'apprêtais à aller au travail j'ai entendu ma femme s'écrouler. Bien avant, elle avait passé une nuit difficile car elle faisait la fièvre. Nous sommes allé à l'hôpital où le médecin m'a révélé que ma femme attendait un enfant. J'étais l'homme le plus heureux. J'ai récité presque tous les noms d'ALLAH pour lui témoigner ma reconnaissance. Une lumière venait d'apparaître dans mon foyer. Je n'oublierai jamais la naissance de mon premier fils. Aujourd'hui ma femme par la grâce d’Allah m'a donné trois enfants. La naissance de chacun de ces enfants m'a rendu heureux. Vous me direz que Allah est fort n'est ce pas ? J'ai pensé la même chose que vous jusqu'à ce qu'un médecin après examen me confirme que mon statut n'avait pas changé d'un iota. En effet, pendant mes congés en novembre 2008 je suis allé à Paris pour me reposer. J'ai retrouvé certains de mes amis avec qui j'avais fait la fac. J'ai en profité pour revoir le premier médecin que j'avais vu, histoire de lui dire ce qui m'était arrivé après son diagnostic fatidique. J'ai alors tout compris. Ma femme dans le but de sauver notre couple s'est sacrifiée. Ces enfants ne sont pas de moi je le sais. Cependant j'aime ma femme alors je garde tranquillement le secret. Je suis heureux. Massalam !
J'ai eu la chance d'avoir des parents qui se souciaient beaucoup de notre avenir scolaire. J'ai fréquenté dans les plus grandes écoles des villes ou nous avons été. Il faut dire que j'étais très brillant. Ainsi, à 17 ans j'ai obtenu mon baccalauréat avec mention très bien. Mon père a voulu que j'aille continuer mes études en Europe afin de revenir avec un maximum de bagage intellectuel. Mes premières années ont été terribles. Il fallait trouver un emploi et suivre en même temps les cours. Au fil du temps, les choses ont fini par s'améliorer. Trois ans après, mon arrivée en Suisse, à la suite d'un bilan de santé, il m'a été révélé que je n'allais jamais avoir la chance de faire un enfant. A vrai dire, au début, je n'ai accordé aucune importance à cette révélation mais pour être plus sûr je suis allé voir un autre médecin. C'était comme si les deux médecins s'étaient passés le mot. Les mêmes anomalies avaient étés décelées. Après mes études, je me suis marié à une charmante fille. Cette dernière m'a donné beaucoup de bonheur, mais notre foyer a failli sombrer, faute d'enfant. Après trois ans de mariage, nous n'avions pas d'enfant. Nos parents se plaignaient. La faute a été rejeté sur ma femme. Mes parents commençaient à la traiter de stérile. Vous êtes sans ignorer l'importance d'un enfant dans nos familles africaines. Je savais que j'avais un problème mais ma foi en Allah le Créateur était si forte que j'espérais. J'ai gardé le secret. Je craignais de perdre ma femme si je lui avouais mon handicap. Ainsi, un matin alors que je m'apprêtais à aller au travail j'ai entendu ma femme s'écrouler. Bien avant, elle avait passé une nuit difficile car elle faisait la fièvre. Nous sommes allé à l'hôpital où le médecin m'a révélé que ma femme attendait un enfant. J'étais l'homme le plus heureux. J'ai récité presque tous les noms d'ALLAH pour lui témoigner ma reconnaissance. Une lumière venait d'apparaître dans mon foyer. Je n'oublierai jamais la naissance de mon premier fils. Aujourd'hui ma femme par la grâce d’Allah m'a donné trois enfants. La naissance de chacun de ces enfants m'a rendu heureux. Vous me direz que Allah est fort n'est ce pas ? J'ai pensé la même chose que vous jusqu'à ce qu'un médecin après examen me confirme que mon statut n'avait pas changé d'un iota. En effet, pendant mes congés en novembre 2008 je suis allé à Paris pour me reposer. J'ai retrouvé certains de mes amis avec qui j'avais fait la fac. J'ai en profité pour revoir le premier médecin que j'avais vu, histoire de lui dire ce qui m'était arrivé après son diagnostic fatidique. J'ai alors tout compris. Ma femme dans le but de sauver notre couple s'est sacrifiée. Ces enfants ne sont pas de moi je le sais. Cependant j'aime ma femme alors je garde tranquillement le secret. Je suis heureux. Massalam !