La preuve que la bonne graine se trouve au PDCI
L'ancien chef de la diplomatie ivoirienne, Amara Essy, a été désigné le lundi par le président de la commission de l'Union Africaine Jean Ping comme médiateur dans la crise qui secoue actuellement le Madagascar. L'ex-ministre des Affaires étrangères de la Côte d'Ivoire est ainsi dans la capitale malgache, Antananarivo, pour tenter d'éteindre le feu qui pourrait ravager ce pays. Grand adepte de la philosophie Houphouetiste, le ministre Essy Amara va, au cours de cette autre mission délicate que lui confie l'UA, essayer d'amener à la table du dialogue le pouvoir malgache et l'opposition que dirige l'ex maire d'Antananarivo Andy Rajoelina. Connaissant ses grandes qualités de diplomate, de fin négociateur, l'homme a toutes les chances de réussir sa mission. La crise dans ce pays a pris un tournant tragique en fin de semaine dernière avec la répression des manifestants de l'opposition qui ont tenté une marche sur la présidence de la République. Répression dont la garde républicaine est à l'origine et qui s'est soldée par au moins 212 morts. Ces tueries ont bien évidemment choqué la conscience de beaucoup de personnes. D'où l'espoir réel placé en Essy Amara pour amener les deux parties à un compromis en vue d'arrêter les tueries. Le choix porté sur l'ancien chef de la diplomatie ivoirienne par l'Union Africaine, grand militant du PDCI-RDA, illustre bien qu'en Cote d'ivoire, la bonne graine se trouve au PDCI-RDA. Le ministre Essy Amara fait partie des grands intellectuels ivoiriens, fruits de la politique du PDCI-RDA qui dans le monde entier ont fait leur preuve. Sa grande connaissance des situations en Afrique et dans le monde, ses qualités de rassembleur sont autant d'atouts que Essy Amara va certainement mettre à profit pour convaincre les partisans du président Marc Ravalomana et ceux de l'opposant Andy Rajoélina à s'asseoir à la table de négociation.
Paul Koffi
L'ancien chef de la diplomatie ivoirienne, Amara Essy, a été désigné le lundi par le président de la commission de l'Union Africaine Jean Ping comme médiateur dans la crise qui secoue actuellement le Madagascar. L'ex-ministre des Affaires étrangères de la Côte d'Ivoire est ainsi dans la capitale malgache, Antananarivo, pour tenter d'éteindre le feu qui pourrait ravager ce pays. Grand adepte de la philosophie Houphouetiste, le ministre Essy Amara va, au cours de cette autre mission délicate que lui confie l'UA, essayer d'amener à la table du dialogue le pouvoir malgache et l'opposition que dirige l'ex maire d'Antananarivo Andy Rajoelina. Connaissant ses grandes qualités de diplomate, de fin négociateur, l'homme a toutes les chances de réussir sa mission. La crise dans ce pays a pris un tournant tragique en fin de semaine dernière avec la répression des manifestants de l'opposition qui ont tenté une marche sur la présidence de la République. Répression dont la garde républicaine est à l'origine et qui s'est soldée par au moins 212 morts. Ces tueries ont bien évidemment choqué la conscience de beaucoup de personnes. D'où l'espoir réel placé en Essy Amara pour amener les deux parties à un compromis en vue d'arrêter les tueries. Le choix porté sur l'ancien chef de la diplomatie ivoirienne par l'Union Africaine, grand militant du PDCI-RDA, illustre bien qu'en Cote d'ivoire, la bonne graine se trouve au PDCI-RDA. Le ministre Essy Amara fait partie des grands intellectuels ivoiriens, fruits de la politique du PDCI-RDA qui dans le monde entier ont fait leur preuve. Sa grande connaissance des situations en Afrique et dans le monde, ses qualités de rassembleur sont autant d'atouts que Essy Amara va certainement mettre à profit pour convaincre les partisans du président Marc Ravalomana et ceux de l'opposant Andy Rajoélina à s'asseoir à la table de négociation.
Paul Koffi