Pr. Mamadou Koulibaly (Président de l’Assemblée Nationale) :
«Mon bureau a complètement cramé. Il n’y a plus rien là-dedans. Pas de plafond, pas de moquette, pas de table, pas de fauteuil, pas d’ordinateur. Le secrétariat est aussi parti en fumée. [….]. L’Assemblée Nationale n’a pas pris feu. Les députés vont continuer à travailler. Il faut donc rassurer les ivoiriens».
Mme Simone Ehivet-Gbagbo (Première Dame et Vice-présidente de l’Assemblée Nationale) :
«Je suis venu soutenir mon Président et soutenir mon Institution. C’est aux environs de 8h30 que j’ai été informée. […]. C’est la consternation. Je ne comprends pas et je n’arrive pas à m’expliquer ce qui arrive. Le bureau du Président, son secrétariat, tout est parti en fumée. Je ne comprends pas. C’est terrible. […]. Ce bâtiment était entretenu, il est gardé. Je préfère ne pas émettre d’hypothèses. J’attends qu’une enquête vigoureuse et sérieuse se fasse et qu’on sache ce qui s’est vraiment passé. Ce bâtiment-là, n’est pas un bâtiment délaissé ; ici, tous les samedis, on fait le grand ménage. Je ne comprends pas».
Général Aka Kadjo Marc (Commandant de l’Armée de l’Air) :
«Ce qui arrive est triste. L’Assemblée Nationale est tout de même la deuxième Institution du pays. La voir partir ainsi en fumée, est très triste».
Colonel Coulibaly Adama (Chef de Corps-GSPM) :
«En tant que Sapeurs-pompiers, lorsque nous sommes arrivés sur les lieux, notre première réaction, a été de combattre les flammes. C’est ce que nous avons fait. En ce qui concerne les indices, ils reviennent de droit aux enquêteurs, c’est-à-dire aux policiers et aux gendarmes».
Commissaire Gogoua Maxime (Police Criminelle) :
«Nous procédons actuellement aux constatations d’usage. Astreints à l’obligation de réserve, nous ne pouvons pas nous prononcer pour le moment. Nous attendons donc la fin des enquêtes».
«Mon bureau a complètement cramé. Il n’y a plus rien là-dedans. Pas de plafond, pas de moquette, pas de table, pas de fauteuil, pas d’ordinateur. Le secrétariat est aussi parti en fumée. [….]. L’Assemblée Nationale n’a pas pris feu. Les députés vont continuer à travailler. Il faut donc rassurer les ivoiriens».
Mme Simone Ehivet-Gbagbo (Première Dame et Vice-présidente de l’Assemblée Nationale) :
«Je suis venu soutenir mon Président et soutenir mon Institution. C’est aux environs de 8h30 que j’ai été informée. […]. C’est la consternation. Je ne comprends pas et je n’arrive pas à m’expliquer ce qui arrive. Le bureau du Président, son secrétariat, tout est parti en fumée. Je ne comprends pas. C’est terrible. […]. Ce bâtiment était entretenu, il est gardé. Je préfère ne pas émettre d’hypothèses. J’attends qu’une enquête vigoureuse et sérieuse se fasse et qu’on sache ce qui s’est vraiment passé. Ce bâtiment-là, n’est pas un bâtiment délaissé ; ici, tous les samedis, on fait le grand ménage. Je ne comprends pas».
Général Aka Kadjo Marc (Commandant de l’Armée de l’Air) :
«Ce qui arrive est triste. L’Assemblée Nationale est tout de même la deuxième Institution du pays. La voir partir ainsi en fumée, est très triste».
Colonel Coulibaly Adama (Chef de Corps-GSPM) :
«En tant que Sapeurs-pompiers, lorsque nous sommes arrivés sur les lieux, notre première réaction, a été de combattre les flammes. C’est ce que nous avons fait. En ce qui concerne les indices, ils reviennent de droit aux enquêteurs, c’est-à-dire aux policiers et aux gendarmes».
Commissaire Gogoua Maxime (Police Criminelle) :
«Nous procédons actuellement aux constatations d’usage. Astreints à l’obligation de réserve, nous ne pouvons pas nous prononcer pour le moment. Nous attendons donc la fin des enquêtes».