Le secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme (Omt), Francesco Frangialli, a effectué une visite de travail à Abidjan les 15 et 16 février.
Il était question, au cours des séances de travail qu’il a eues avec le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Konaté Sidiki, et son cabinet, de trouver les voies et moyens pour appliquer les résolutions de la «Conférence internationale sur la relance du tourisme en Côte d’Ivoire». Qui s’est tenue du 08 au 10 octobre 2008 à Abidjan en sa présence. Au terme de sa visite, il a entretenu la presse sur les motifs de sa présence en Côte d’Ivoire. C’était hier au cabinet du ministre au Plateau.
Au dire de son secrétaire général , la Côte d’Ivoire doit apurer la dette, estimée à près de 120 millions de francs Cfa, envers l’Omt. Depuis 5 ans, la Côte d’Ivoire ne parvient plus à payer sa contribution à l’Omt à cause de la situation sociopolitique qu’elle traverse. Et pourtant, l’apurement de cette dette va lui permettre de bénéficier des projets sous-régionaux de développement du tourisme financés par cette institution des Nations unies. Surtout que Francesco Frangialli, dont le 3e mandat s’achève en mars prochain, a apporté son soutien à la Côte d’Ivoire en l’inscrivant dans tous les projets sous-régionaux de relance du tourisme de l’Omt. Car, il est important que le tourisme soit un maillon essentiel de l’économie ivoirienne. Cela est possible au regard de son énorme potentiel. En effet, la Côte d’Ivoire peut développer trois types de tourisme, à savoir le tourisme d’affaires, le tourisme balnéaire et l’écotourisme. Qui peuvent, non seulement, contribuer à la réduction de la pauvreté et au développement économique, mais également, être facteurs d’union et de réconciliation, a précisé Francesco Frangialli.
Promesse a été faite par le ministre Konaté Sidiki d’œuvrer pour l’apurement de ladite dette. Déjà, le gouvernement a saisi le ministre de l’Economie et des Finances afin qu’il remédie à cette situation. Car, la relance du tourisme va favoriser, à n’en point douter, la création de milliers d’emplois, selon lui.
Nimatoulaye Ba
Il était question, au cours des séances de travail qu’il a eues avec le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Konaté Sidiki, et son cabinet, de trouver les voies et moyens pour appliquer les résolutions de la «Conférence internationale sur la relance du tourisme en Côte d’Ivoire». Qui s’est tenue du 08 au 10 octobre 2008 à Abidjan en sa présence. Au terme de sa visite, il a entretenu la presse sur les motifs de sa présence en Côte d’Ivoire. C’était hier au cabinet du ministre au Plateau.
Au dire de son secrétaire général , la Côte d’Ivoire doit apurer la dette, estimée à près de 120 millions de francs Cfa, envers l’Omt. Depuis 5 ans, la Côte d’Ivoire ne parvient plus à payer sa contribution à l’Omt à cause de la situation sociopolitique qu’elle traverse. Et pourtant, l’apurement de cette dette va lui permettre de bénéficier des projets sous-régionaux de développement du tourisme financés par cette institution des Nations unies. Surtout que Francesco Frangialli, dont le 3e mandat s’achève en mars prochain, a apporté son soutien à la Côte d’Ivoire en l’inscrivant dans tous les projets sous-régionaux de relance du tourisme de l’Omt. Car, il est important que le tourisme soit un maillon essentiel de l’économie ivoirienne. Cela est possible au regard de son énorme potentiel. En effet, la Côte d’Ivoire peut développer trois types de tourisme, à savoir le tourisme d’affaires, le tourisme balnéaire et l’écotourisme. Qui peuvent, non seulement, contribuer à la réduction de la pauvreté et au développement économique, mais également, être facteurs d’union et de réconciliation, a précisé Francesco Frangialli.
Promesse a été faite par le ministre Konaté Sidiki d’œuvrer pour l’apurement de ladite dette. Déjà, le gouvernement a saisi le ministre de l’Economie et des Finances afin qu’il remédie à cette situation. Car, la relance du tourisme va favoriser, à n’en point douter, la création de milliers d’emplois, selon lui.
Nimatoulaye Ba