“Un pèlerin Africain” (le titre est provisoire) est un film documentaire sur le parcours et le combat de Laurent Gbagbo, le grand opposant d'hier devenu président de la République de Côte d'Ivoire depuis 2000.
“Qui est-il ? Quelles sont les clés de son action ? C'est la question centrale qui nous permettra de tenter de découvrir les différentes facettes du grand opposant d'hier devenu l'homme d'Etat et qui fait la fierté des Africains”, souligne succinctement Hanny Tchelley Etibou, réalisatrice de ce film documentaire, pour justifier l'intention de son œuvre.
Le synopsis du film
Durant les années de crise en Côte d'Ivoire, le peuple dans sa très grande majorité, s'est levé pour défendre sa patrie, ses idéaux, ses choix.
Toutes les composantes de la société Ivoirienne, les planteurs, les femmes, surtout les jeunes, mais aussi des Africains, se sont mobilisés pour sauver et préserver la légalité constitutionnelle, et permettre la réalisation du programme de gouvernement qui leur a été proposé.
Car s'est bien à un programme que les Ivoiriens ont adhéré. Et c'est un sentiment d'injustice qui anime ceux qui défendent Laurent Gbagbo et qui ne sont pas forcément Ivoiriens.
Comment comprendre ce vaste mouvement, cette Osmose d'un chef avec une très large frange de son peuple ? Quel est le “mystère Gbagbo” ?
Découpage du film en cinq chapitres
La première partie de ce film documentaire produit par un opérateur économique originaire de la Mauritanie, parle de l'histoire de l'homme (Gbagbo). A savoir, sa naissance dans une famille modeste, ses rapports avec ses parents, sa jeunesse, son parcours universitaire et culturel, son éveil à la politique.
Sur le chapitre suivant intitulé “Les années de lutte”, le public aura l'occasion de découvrir l'entrée en politique de Laurent Gbagbo entre 1971 et 1982 sous le parti unique et ses rapports avec Félix Houphouet Boigny, premier président de la République de Côte d'Ivoire.
L'écriture de “Soundjata” en prison, la naissance du Front populaire ivoirien (FPI) et l'exil (1982-1988).
Le retour d'exil, le multipartisme, l'élection présidentielle de 1990, la marche du 18 février 1992, la mort d'Houphouet Boigny en 1993, le boycott actif 1995, le coup de 1999 et la transition militaire, l'arrivée au pouvoir, sont autant de faits qui marquent également ce chapitre.
Un seul point figure sur le troisième chapitre de ce film, intitulé “L'exercice du pouvoir (2000-2002).
Il s'agit du programme de la Refondation : école gratuite, suppression de l'uniforme, assurance maladie universelle, libéralisation de la filière café-cacao, conseils généraux.
“La gestion du pouvoir et de l'après 19 septembre 2002”, c'est le quatrième chapitre de “un pèlerin Africain”, qui évoquera la guerre du 18 septembre 2002, la résistance de Laurent Gbagbo et de son peuple et l'initiateur de l'Accord politique de Ouagadougou (APO).
Le dernier chapitre consacré à "La vision politique, économique et sociale pour la Côte d'Ivoire et l'Afrique", mettra en lumière la vison économique et sociale de la Côte d'Ivoire et la vision politique, notamment, la renaissance de l'Afrique et le panafricanisme de Laurent Gbagbo.
Ce film dont le montage sera réalisé par un franco-espagnol, sortira en version long métrage pour le cinéma et en version court métrage de 25 ou 2x26 minutes pour la télévision.
Serikpa Benson
“Qui est-il ? Quelles sont les clés de son action ? C'est la question centrale qui nous permettra de tenter de découvrir les différentes facettes du grand opposant d'hier devenu l'homme d'Etat et qui fait la fierté des Africains”, souligne succinctement Hanny Tchelley Etibou, réalisatrice de ce film documentaire, pour justifier l'intention de son œuvre.
Le synopsis du film
Durant les années de crise en Côte d'Ivoire, le peuple dans sa très grande majorité, s'est levé pour défendre sa patrie, ses idéaux, ses choix.
Toutes les composantes de la société Ivoirienne, les planteurs, les femmes, surtout les jeunes, mais aussi des Africains, se sont mobilisés pour sauver et préserver la légalité constitutionnelle, et permettre la réalisation du programme de gouvernement qui leur a été proposé.
Car s'est bien à un programme que les Ivoiriens ont adhéré. Et c'est un sentiment d'injustice qui anime ceux qui défendent Laurent Gbagbo et qui ne sont pas forcément Ivoiriens.
Comment comprendre ce vaste mouvement, cette Osmose d'un chef avec une très large frange de son peuple ? Quel est le “mystère Gbagbo” ?
Découpage du film en cinq chapitres
La première partie de ce film documentaire produit par un opérateur économique originaire de la Mauritanie, parle de l'histoire de l'homme (Gbagbo). A savoir, sa naissance dans une famille modeste, ses rapports avec ses parents, sa jeunesse, son parcours universitaire et culturel, son éveil à la politique.
Sur le chapitre suivant intitulé “Les années de lutte”, le public aura l'occasion de découvrir l'entrée en politique de Laurent Gbagbo entre 1971 et 1982 sous le parti unique et ses rapports avec Félix Houphouet Boigny, premier président de la République de Côte d'Ivoire.
L'écriture de “Soundjata” en prison, la naissance du Front populaire ivoirien (FPI) et l'exil (1982-1988).
Le retour d'exil, le multipartisme, l'élection présidentielle de 1990, la marche du 18 février 1992, la mort d'Houphouet Boigny en 1993, le boycott actif 1995, le coup de 1999 et la transition militaire, l'arrivée au pouvoir, sont autant de faits qui marquent également ce chapitre.
Un seul point figure sur le troisième chapitre de ce film, intitulé “L'exercice du pouvoir (2000-2002).
Il s'agit du programme de la Refondation : école gratuite, suppression de l'uniforme, assurance maladie universelle, libéralisation de la filière café-cacao, conseils généraux.
“La gestion du pouvoir et de l'après 19 septembre 2002”, c'est le quatrième chapitre de “un pèlerin Africain”, qui évoquera la guerre du 18 septembre 2002, la résistance de Laurent Gbagbo et de son peuple et l'initiateur de l'Accord politique de Ouagadougou (APO).
Le dernier chapitre consacré à "La vision politique, économique et sociale pour la Côte d'Ivoire et l'Afrique", mettra en lumière la vison économique et sociale de la Côte d'Ivoire et la vision politique, notamment, la renaissance de l'Afrique et le panafricanisme de Laurent Gbagbo.
Ce film dont le montage sera réalisé par un franco-espagnol, sortira en version long métrage pour le cinéma et en version court métrage de 25 ou 2x26 minutes pour la télévision.
Serikpa Benson