Bonne nouvelle pour les fournisseurs de l’Etat de Côte d’Ivoire ! Le gouvernement a décidé de faire du remboursement de sa dette intérieure, une priorité en 2009. Le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Koffi Diby l’a signifié hier avec insistance, à l’ouverture du séminaire sur «la définition d’une stratégie de relance et de développement du secteur privé». A l’assistance composée d’opérateurs économiques, le ministre a surtout exprimé l’engagement de l’Etat à mettre l’accent sur la non accumulation d’arriérés intérieurs cette année. Et il donne sa parole que l’opération de remboursement se fera en toute… transparence. Il compte veiller personnellement à ce que «les instruments utilisés soient crédibles, transparents et efficaces».
Voilà qui va mettre du baume au cœur des responsables des entreprises créancières de l’Etat. Qui, bien qu’ayant été quelque peu soulagés ces derniers temps, peuvent ainsi espérer davantage de remboursement, au cours de l’année 2009.
Les acteurs du secteur privé peuvent être d’autant heureux que le ministre a insisté sur la transparence qui entourera les différentes opérations de remboursement. Est-ce à dire que les créanciers échapperont cette fois-ci aux incontournables dessous de table auxquels ils ont jusque-là été obligés de se soumettre pour se faire payer ? On le saura au cours de l’année.
Le séminaire sur la définition d’une stratégie de relance et de développement du secteur privé» ne pouvait pas mieux commencer. Cette rencontre a pour but de «dégager des solutions à court et moyen termes pour assurer la reprise de la croissance et le développement du secteur privé». Les participants sortiront du séminaire aujourd’hui avec, entre autres, un plan de relance post-crise avec un accent sur les Pme-Pmi.
D’ores et déjà, le ministre de l’Economie et des Finances informe les uns et les autres que le souci du gouvernement est de sécuriser l’environnement des affaires et l’assainissement du secteur financier. D’importantes réflexions ont été menées dans ce sens avec les partenaires au développement. Le séminaire est organisé par la direction générale de l’Economie. Son premier responsable, Kouassy Oussou, fonde l’espoir que les travaux vont contribuer à «assurer une relance ordonnée et efficace des secteurs productifs du pays».
Alakagni Hala
Voilà qui va mettre du baume au cœur des responsables des entreprises créancières de l’Etat. Qui, bien qu’ayant été quelque peu soulagés ces derniers temps, peuvent ainsi espérer davantage de remboursement, au cours de l’année 2009.
Les acteurs du secteur privé peuvent être d’autant heureux que le ministre a insisté sur la transparence qui entourera les différentes opérations de remboursement. Est-ce à dire que les créanciers échapperont cette fois-ci aux incontournables dessous de table auxquels ils ont jusque-là été obligés de se soumettre pour se faire payer ? On le saura au cours de l’année.
Le séminaire sur la définition d’une stratégie de relance et de développement du secteur privé» ne pouvait pas mieux commencer. Cette rencontre a pour but de «dégager des solutions à court et moyen termes pour assurer la reprise de la croissance et le développement du secteur privé». Les participants sortiront du séminaire aujourd’hui avec, entre autres, un plan de relance post-crise avec un accent sur les Pme-Pmi.
D’ores et déjà, le ministre de l’Economie et des Finances informe les uns et les autres que le souci du gouvernement est de sécuriser l’environnement des affaires et l’assainissement du secteur financier. D’importantes réflexions ont été menées dans ce sens avec les partenaires au développement. Le séminaire est organisé par la direction générale de l’Economie. Son premier responsable, Kouassy Oussou, fonde l’espoir que les travaux vont contribuer à «assurer une relance ordonnée et efficace des secteurs productifs du pays».
Alakagni Hala
