Un atelier visant à contribuer à l’entretien d’une veille informationnelle sur la responsabilité sociétale et ses enjeux pour le développement de l’Afrique, s’est tenu hier, à la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire, au Plateau. Cette journée d’information et de sensibilisation sur la responsabilité sociétale des entreprises, initiée par l’association Lead Côte d’Ivoire, devra permettre aux participants, que sont les dirigeants des entreprises, des collectivités locales, des syndicats, des organisation de la société civile, etc., de mieux appréhender le concept de responsabilité sociétale (RS), afin qu’ils puissent s’en approprier de même que celui de normalisation pour une meilleur prise de décisions dans les divers activités.
Selon Mme Cécile Nissack, coordonnatrice de Lead CI, pour contribuer à l’accélération du processus de mise en œuvre des stratégies nationales de développement durable (SNDD), il convient de favoriser l’appropriation de deux grands champs d’actions. Il s’agit notamment des modes de production et de consommation durables d’une part et d’autre part, des questions de responsabilité sociétale qui interpellent les principales parties prenantes au développement durable, a-t-elle précisé. “La responsabilité sociétale est un processus d’amélioration dans le cadre duquel toutes les organisations intègrent de manière volontaire, systématique et cohérente, des préoccupations d’ordre social, environnemental, économique et culturel dans leur gestion au quotidien. La responsabilité sociétale s’appuie ainsi sur des principes directeurs et des outils (normes standards et label) qui permettent, non seulement de mesurer la réalité de ses pratiques et leur valeur ajoutée, mais aussi en maximiser les impacts positifs pour les entreprises, les collectivités et la société dans son ensemble”, a-t-elle expliqué.
Pour le directeur des études et de l’information économique de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire, Koné Ladio, la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) demande une bonne perception tant de l’environnement de l’entreprise que du respect de l’équilibre des intérêts des parties prenantes ou intéressées. Cela suppose aussi, dit-il, que les ressources dispensées en matière de RSE doivent générer un retour sur investissement. Ce concept se développe dans le monde industrialisé et se traduit par divers niveaux d’obligations qui prennent la forme de recommandations de norme volontaire, telle que la norme ISO 26 000, a-t-il indiqué.
D.A.
Selon Mme Cécile Nissack, coordonnatrice de Lead CI, pour contribuer à l’accélération du processus de mise en œuvre des stratégies nationales de développement durable (SNDD), il convient de favoriser l’appropriation de deux grands champs d’actions. Il s’agit notamment des modes de production et de consommation durables d’une part et d’autre part, des questions de responsabilité sociétale qui interpellent les principales parties prenantes au développement durable, a-t-elle précisé. “La responsabilité sociétale est un processus d’amélioration dans le cadre duquel toutes les organisations intègrent de manière volontaire, systématique et cohérente, des préoccupations d’ordre social, environnemental, économique et culturel dans leur gestion au quotidien. La responsabilité sociétale s’appuie ainsi sur des principes directeurs et des outils (normes standards et label) qui permettent, non seulement de mesurer la réalité de ses pratiques et leur valeur ajoutée, mais aussi en maximiser les impacts positifs pour les entreprises, les collectivités et la société dans son ensemble”, a-t-elle expliqué.
Pour le directeur des études et de l’information économique de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire, Koné Ladio, la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) demande une bonne perception tant de l’environnement de l’entreprise que du respect de l’équilibre des intérêts des parties prenantes ou intéressées. Cela suppose aussi, dit-il, que les ressources dispensées en matière de RSE doivent générer un retour sur investissement. Ce concept se développe dans le monde industrialisé et se traduit par divers niveaux d’obligations qui prennent la forme de recommandations de norme volontaire, telle que la norme ISO 26 000, a-t-il indiqué.
D.A.
