Le personnel du groupe de presse La Refondation (société éditrice de Notre Voie) s'est rendu mercredi, en fin de soirée, au domicile du directeur du protocole d'Etat pour lui exprimer sa compassion suite au décès de sa sœur cadette Koné Mariatou. La délégation d'une vingtaine de personnes était conduite par la Directrice générale adjointe Mme Simone Hué Lou, et le directeur de publication et rédacteur en chef César Etou.
Amos Béonaho, président de l'Union nationale des journalistes de Côte d'Ivoire (UNJCI), s'est joint à ses confrères de Notre Voie pour la circonstance.
En face, SEM l'ambassadeur Koné Boubacar était entouré de son épouse, de Charles Gnapo, député de Buyo, et son parent Arthur Traoré. C'est ce dernier qui, au nom de la famille Koné a demandé les nouvelles aux travailleurs.
Porte-parole, Serges Armand Didi, président de la Mutuelle des agents de la Refondation (MUTAREF), a dit que les travailleurs de Notre Voie avaient appris la mauvaise nouvelle du décès de la sœur cadette de l'ambassadeur, décès survenu le 3 janvier 2009. Aussi, compte tenu des solides liens qui unissent Notre Voie au directeur du protocole d'Etat, ne pouvaient-ils pas rester indifférents à la douleur qui étreint ce dernier. Mais, pour certaines contraintes, ils n'ont pu aller présenter leurs condoléances à M. Koné Boubacar, malgré des compassions exprimées à titre personnel par certains agents jusqu'à ce que la défunte soit inhumée le 7 février à Sassandra, ville chère aux Koné.
Serges Armand Didi a fait remarquer que, dès la nomination de M. Koné en qualité de directeur du protocole d'Etat, les travailleurs de Notre Voie avaient projeté de l'inviter au siège du journal. Malheureusement, ce projet n'a pas été mis à exécution jusqu'à la douloureuse nouvelle. Il a donc promis que ce n'est que partie remise.
M. Traoré a rappelé les circonstances de la disparition de Mariatou et exprimé la gratitude de la famille Koné aux visiteurs. L'ambassadeur a ensuite pris la parole pour brièvement exprimer sa gratitude. Il a avoué qu'il n'est pas surpris mais ému. Il a rappelé que Notre Voie, c'est un peu sa maison pour y avoir collaboré en tant que chroniqueur, au temps du combat du FPI quand ce parti se battait dans l'opposition pour l'avènement d'une nouvelle Côte d'Ivoire. L'enseignant à l'Université de Cocody qu'il était n'hésitait pas à mener des réflexions sous divers pseudonymes.
Jean Goudalé
Amos Béonaho, président de l'Union nationale des journalistes de Côte d'Ivoire (UNJCI), s'est joint à ses confrères de Notre Voie pour la circonstance.
En face, SEM l'ambassadeur Koné Boubacar était entouré de son épouse, de Charles Gnapo, député de Buyo, et son parent Arthur Traoré. C'est ce dernier qui, au nom de la famille Koné a demandé les nouvelles aux travailleurs.
Porte-parole, Serges Armand Didi, président de la Mutuelle des agents de la Refondation (MUTAREF), a dit que les travailleurs de Notre Voie avaient appris la mauvaise nouvelle du décès de la sœur cadette de l'ambassadeur, décès survenu le 3 janvier 2009. Aussi, compte tenu des solides liens qui unissent Notre Voie au directeur du protocole d'Etat, ne pouvaient-ils pas rester indifférents à la douleur qui étreint ce dernier. Mais, pour certaines contraintes, ils n'ont pu aller présenter leurs condoléances à M. Koné Boubacar, malgré des compassions exprimées à titre personnel par certains agents jusqu'à ce que la défunte soit inhumée le 7 février à Sassandra, ville chère aux Koné.
Serges Armand Didi a fait remarquer que, dès la nomination de M. Koné en qualité de directeur du protocole d'Etat, les travailleurs de Notre Voie avaient projeté de l'inviter au siège du journal. Malheureusement, ce projet n'a pas été mis à exécution jusqu'à la douloureuse nouvelle. Il a donc promis que ce n'est que partie remise.
M. Traoré a rappelé les circonstances de la disparition de Mariatou et exprimé la gratitude de la famille Koné aux visiteurs. L'ambassadeur a ensuite pris la parole pour brièvement exprimer sa gratitude. Il a avoué qu'il n'est pas surpris mais ému. Il a rappelé que Notre Voie, c'est un peu sa maison pour y avoir collaboré en tant que chroniqueur, au temps du combat du FPI quand ce parti se battait dans l'opposition pour l'avènement d'une nouvelle Côte d'Ivoire. L'enseignant à l'Université de Cocody qu'il était n'hésitait pas à mener des réflexions sous divers pseudonymes.
Jean Goudalé
