Les Forces nouvelles ont demandé à la Fesci d’observer des règles correctes de cohabitation avec les autres organisations scolaires et estudiantines dans la zone CNO.
«Les Forces nouvelles n’accepteront pas les bavures dans leurs zones comme tel est le cas à Abidjan. Car, y elles bouteront hors tous ceux qui poseront des actes de barbarie dans leurs zones». Telle est la mise en garde de Sekongo Félicien. Le responsable des ex-rebelles chargé des syndicats, des communautés, des associations et des Ong qui a échangé, hier à Bouaké, avec les responsables locaux de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci) de la capitale du Centre a demandé à ces deniers de se tenir à carreau pour une meilleure collaboration. Il a demandé aux organisations estudiantines de s’entendre et d’œuvrer dans l’intérêt général de leurs membres au lieu de s’adonner à des spectacles en se découpant à la machette. Il leur a recommandé la cohabitation pacifique dans le cadre de leurs activités sur le terrain notamment en ce qui concerne les zones CNO.
«Il est inconcevable que vous ayez les mêmes objectifs et vous vous affrontez», a-t-il dénoncé.
Le conseiller spécial de l’ex-rébellion a recommandé à la branche locale de la Fesci de faire des sacrifices qui permettraient aux élèves et étudiants d’aller à l’école et de suivre leur formation. Selon lui, tel doit être le rôle de la Fesci car, poursuit-il, «la force d’une structure n’est pas sa force physique mais sa capacité à mobiliser les ressources pour mener à bien ses actions qui consistent à trouver des solutions qui concernent ses syndiqués». Le chef de la délégation, Diomandé Amara, responsable de la Fesci du Campus I de Bouaké a remercié Sekongo Félicien et témoigné la gratitude de sa structure pour l’oreille attentive des Forces nouvelles. Il a indiqué, ensuite, que cela fait six ans que la Fesci est inexistante dans les zones Centre, Nord et Ouest, notamment à Bouaké. «Nous sommes là pour la reprise de nos activités que nous entendons mener à bien afin d’éviter toute bavure avec le collectif des élèves et étudiants qui est sur place», a conclu Diomandé Amara.
K. M. D avec fn-ci.info
«Les Forces nouvelles n’accepteront pas les bavures dans leurs zones comme tel est le cas à Abidjan. Car, y elles bouteront hors tous ceux qui poseront des actes de barbarie dans leurs zones». Telle est la mise en garde de Sekongo Félicien. Le responsable des ex-rebelles chargé des syndicats, des communautés, des associations et des Ong qui a échangé, hier à Bouaké, avec les responsables locaux de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci) de la capitale du Centre a demandé à ces deniers de se tenir à carreau pour une meilleure collaboration. Il a demandé aux organisations estudiantines de s’entendre et d’œuvrer dans l’intérêt général de leurs membres au lieu de s’adonner à des spectacles en se découpant à la machette. Il leur a recommandé la cohabitation pacifique dans le cadre de leurs activités sur le terrain notamment en ce qui concerne les zones CNO.
«Il est inconcevable que vous ayez les mêmes objectifs et vous vous affrontez», a-t-il dénoncé.
Le conseiller spécial de l’ex-rébellion a recommandé à la branche locale de la Fesci de faire des sacrifices qui permettraient aux élèves et étudiants d’aller à l’école et de suivre leur formation. Selon lui, tel doit être le rôle de la Fesci car, poursuit-il, «la force d’une structure n’est pas sa force physique mais sa capacité à mobiliser les ressources pour mener à bien ses actions qui consistent à trouver des solutions qui concernent ses syndiqués». Le chef de la délégation, Diomandé Amara, responsable de la Fesci du Campus I de Bouaké a remercié Sekongo Félicien et témoigné la gratitude de sa structure pour l’oreille attentive des Forces nouvelles. Il a indiqué, ensuite, que cela fait six ans que la Fesci est inexistante dans les zones Centre, Nord et Ouest, notamment à Bouaké. «Nous sommes là pour la reprise de nos activités que nous entendons mener à bien afin d’éviter toute bavure avec le collectif des élèves et étudiants qui est sur place», a conclu Diomandé Amara.
K. M. D avec fn-ci.info