Précédemment Directeur de la police criminelle (Dpc), le commissaire Négblé César vient d’être promu à la tête de la Direction de la surveillance du territoire national (Dst). La passation des charges a eu lieu mercredi dernier entre lui et le Commissaire Gbétia Firmin, directeur sortant.
Il a pour mission de redynamiser ce service névralgique et stratégique de la police nationale en charge du renseignement et de l’intelligence. Cette direction gère, en effet, la sécurité et la sûreté de la Côte d’Ivoire. Avec deux grandes sous-directions que sont la Sous- direction de la police de l’air et des frontières, incluant le service passeport et la Sous-direction de la surveillance du territoire, etc.
Le commissaire Négblé a occupé le poste de Directeur de la police criminelle pendant un peu plus d’une année. Avant, il a eu une carrière bien remplie à l’Unité d’intervention et de recherche (UIR) de la préfecture de police. Ce policier, craint par les milieux de la pègre, va devoir affronter d’autres challenges, pas des moindres. Il aura donc une nouvelle approche du renseignement qui intègre les faiblesses d’un système sécuritaire national qui a montré ses limites en 1999, avec le coup d’Etat de 1999 et le déclenchement de la crise actuelle survenu depuis le 19 septembre de 2002.
Cissé Mamadou
Il a pour mission de redynamiser ce service névralgique et stratégique de la police nationale en charge du renseignement et de l’intelligence. Cette direction gère, en effet, la sécurité et la sûreté de la Côte d’Ivoire. Avec deux grandes sous-directions que sont la Sous- direction de la police de l’air et des frontières, incluant le service passeport et la Sous-direction de la surveillance du territoire, etc.
Le commissaire Négblé a occupé le poste de Directeur de la police criminelle pendant un peu plus d’une année. Avant, il a eu une carrière bien remplie à l’Unité d’intervention et de recherche (UIR) de la préfecture de police. Ce policier, craint par les milieux de la pègre, va devoir affronter d’autres challenges, pas des moindres. Il aura donc une nouvelle approche du renseignement qui intègre les faiblesses d’un système sécuritaire national qui a montré ses limites en 1999, avec le coup d’Etat de 1999 et le déclenchement de la crise actuelle survenu depuis le 19 septembre de 2002.
Cissé Mamadou
