ABIDJAN - La France se fait l`"avocate" de la Côte d`Ivoire auprès des partenaires occidentaux en vue de l`allègement de la dette de ce pays d`Afrique de l`Ouest, a affirmé la secrétaire d`Etat française au Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, jeudi à Abidjan.
La France, ancienne puissance coloniale, "oeuvre beaucoup pour que la Côte d`Ivoire puisse obtenir ce qu`elle attend en matière de dette internationale", a déclaré Mme Idrac, évoquant une "responsabilité d`aider la Côte d`Ivoire".
"J`ai expliqué les demandes qui sont celles de la communauté internationale dans lesquelles la France sert effectivement d`avocate à la Côte d`Ivoire", a-t-elle souligné, après une rencontre à Yamoussoukro (centre) avec le président ivoirien Laurent Gbagbo.
Mme Idrac, qui n`a pas énuméré ces demandes, a souligné que l`allègement de cette dette pourrait permettre au pays de "repartir sur de nouvelles bases, et en particulier pour que les ressources publiques puissent être dégagées en matière d`investissement".
Le 13 février, une mission conjointe de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international( (FMI) a salué la "bonne gestion" du budget 2008 de la Côte d`Ivoire qui pourrait ouvrir au pays la voie à un allègement de sa dette extérieure.
Le FMI et les autorités ivoiriennes sont également parvenus à un "accord de principe sur un programme économique sur trois ans (2009- 2011).
Ce programme doit être soumis "dans un futur proche" au Conseil d`administration du FMI. Il devrait permettre au pays de bénéficier d`une "assistance financière significative afin d`atteindre le point de décision de l`Initiative pour les pays pauvres très endettés (PPTE), ouvrant ainsi la voie à un allègement de sa dette".
La dette extérieure de la Côte d`Ivoire a atteint 6.700 milliards de francs CFA (10,22 milliards d`euros) en 2007, dont 2.000 milliards de FCFA d`arriérés vis-à-vis des bailleurs de fonds, selon le FMI.
La France, ancienne puissance coloniale, "oeuvre beaucoup pour que la Côte d`Ivoire puisse obtenir ce qu`elle attend en matière de dette internationale", a déclaré Mme Idrac, évoquant une "responsabilité d`aider la Côte d`Ivoire".
"J`ai expliqué les demandes qui sont celles de la communauté internationale dans lesquelles la France sert effectivement d`avocate à la Côte d`Ivoire", a-t-elle souligné, après une rencontre à Yamoussoukro (centre) avec le président ivoirien Laurent Gbagbo.
Mme Idrac, qui n`a pas énuméré ces demandes, a souligné que l`allègement de cette dette pourrait permettre au pays de "repartir sur de nouvelles bases, et en particulier pour que les ressources publiques puissent être dégagées en matière d`investissement".
Le 13 février, une mission conjointe de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international( (FMI) a salué la "bonne gestion" du budget 2008 de la Côte d`Ivoire qui pourrait ouvrir au pays la voie à un allègement de sa dette extérieure.
Le FMI et les autorités ivoiriennes sont également parvenus à un "accord de principe sur un programme économique sur trois ans (2009- 2011).
Ce programme doit être soumis "dans un futur proche" au Conseil d`administration du FMI. Il devrait permettre au pays de bénéficier d`une "assistance financière significative afin d`atteindre le point de décision de l`Initiative pour les pays pauvres très endettés (PPTE), ouvrant ainsi la voie à un allègement de sa dette".
La dette extérieure de la Côte d`Ivoire a atteint 6.700 milliards de francs CFA (10,22 milliards d`euros) en 2007, dont 2.000 milliards de FCFA d`arriérés vis-à-vis des bailleurs de fonds, selon le FMI.