Les décideurs du ministère d’Etat, ministère du Plan et du Développement ont reçu des informations utiles sur le genre à l’effet de les intégrer dans les politiques qu’ils auront à concevoir pour la réduction de la pauvreté en Côte d’Ivoire. La matinée d’informations et d’échanges qu’ils ont eue, mercredi dernier, à l’Immeuble Sciam au Plateau, avec les experts en genre du ministère de la Famille, de la Femme et des Affaires sociales, leur a permis d’appréhender ce concept dans toute sa dimension. En effet, selon Mme Soro de la direction de l’égalité et de la promotion du genre, l’analyse de la question du genre permet de déceler les différences entre les hommes et les femmes. “Elle étudie leurs activités, conditions de vie, besoins spécifiques, leurs accès aux ressources et à leur maîtrise, mais aussi leurs accès aux bénéfices du développement et à la prise de décisions”, a-t-elle fait observer. En clair, dans la mesure où les femmes occupent habituellement une position défavorable par rapport aux hommes, l’intégration de la dimension genre dans la planification du développement requiert une vive attention à leurs besoins, leurs intérêts et leurs perspectives.
“Le ministère d’Etat, ministère du Plan et du Développement étant le département chargé d’orienter l’action gouvernementale, les informations que nous avons reçues vont certainement modifier nos perceptions. Ainsi, les projets que nous allons déployer ne manqueront pas d’être équitables”, a relevé M. Alexandre Assémian, directeur de cabinet du ministre d’Etat Paul Antoine Bohoun Bouabré.
Bruno Kouadio
“Le ministère d’Etat, ministère du Plan et du Développement étant le département chargé d’orienter l’action gouvernementale, les informations que nous avons reçues vont certainement modifier nos perceptions. Ainsi, les projets que nous allons déployer ne manqueront pas d’être équitables”, a relevé M. Alexandre Assémian, directeur de cabinet du ministre d’Etat Paul Antoine Bohoun Bouabré.
Bruno Kouadio