En attendant que Jean-Louis Billon se déclare officiellement candidat à la présidentielle, ses soutiens sont découverts.
Le quotidien Le Temps ne croyait pas si bien dire, lorsqu`il levait un coin de voile sur l`agenda caché du directeur général du Groupe Sifca, Jean-Louis Billon. Dans son édition n°1750 du mercredi 25 février 2009, votre quotidien préféré a révélé que l`entourage de Jean-Louis Billon, par ailleurs président de la Chambre de Commerce de d`industrie de Côte d`Ivoire, l`annonce à la présidentielle de 2009, en Côte d`Ivoire. Trois jours seulement après, cette révélation, une source diplomatique, proche de ce dossier donne la confirmation.
Même si le concerné n`a pas encore jugé opportun de déclarer, officiellement, qu`il est prétendant à la course au pouvoir dans son pays, il n`en demeure pas moins que l`homme fait l`objet de beaucoup de convoitise en ce moment. Selon notre source, Jean-Louis Billon est perçu par certaines chancelleries étrangères, notamment européennes et américaines comme le candidat qui pourrait suppléer aux deux gros candidats de l`opposition. A savoir : Allassane Dramane Ouattara et Henri Konan Bédié. " Les tractations souterraines vont bons train. En ce sens que les chancelleries, par mission interposées, lui font miroiter un certain nombre de choses. Pour l`avantage qu`il a d`être métisse ", selon notre interlocuteur. Oubliant que les réalités d`ailleurs ne sont pas forcément les mêmes qu`en Afrique. Un continent dans lequel chaque acteur politique essaie autant que faire se peut, de garder jalousement ses acquis électoraux, en cherchant à passer des alliances pour avancer sur le chemin de la victoire. Et en la matière, on ne connait pas le nouveau poulain de l`hexagone comme un dur à même de faire basculer un grand nombre de son parti politique, le Pdci-Rda.
Au sein duquel d`ailleurs, il a maille à partir avec le président Konan Bédié. Le chef du vieux parti ivoirien, selon toujours notre source, reprocherait au géniteur de Jean-Louis, de n`avoir pas été suffisamment fidèle au Pdci, qui lui aurait tout donné. Un vieux différend dont le fils Billon fait les frais aujourd`hui. Il y a aussi le cas des Ouattara. Le couple " républicain " ne digère pas la concurrence qu`un membre de la famille du futur probable candidat à la présidentielle en Côte d`Ivoire, mène à son épouse, Dominique Ouattara, à travers sa structure qui a la même raison sociale que celle de dame Ouattara. Et dire que c`est son fils qui est préféré par les anciens soutiens d`Alassane Dramane Ouattara, président du Rdr et candidat déclaré, pour le remplacer. En plus de ces deux adversaires, l`homme n`est pas non plus en odeur de sainteté avec le secrétaire général des Forces nouvelles (Fn). Rancunier, Jean-Louis Billon, à en croire à notre informateur, a refusé de céder une de ses résidences à Guillaume Soro, qui en a exprimé le besoin, pour y vivre à Abidjan, en tant que Premier ministre. Parce qu`il n`a pas encore oublié le lourd tribu qu`il a payé de la crise. Il ne s`est donc pas empêché de rappeler à Guillaume Soro que ses hommes ont détruit son ranch de Katiola, lorsque ses combattants ont pris la ville. Visiblement, les choses s`annoncent périlleuses sur le terrain, pour le nouveau poulain des chancelleries européennes et américaines. Qui doivent dorénavant ouvrir l`œil pour observer la vie politique ivoirienne et ses implications, avant de s`engager dans un soutien qui n`aboutira pas.
Frimo Koukou Djipro
koukoudf@yahoo.fr
Le quotidien Le Temps ne croyait pas si bien dire, lorsqu`il levait un coin de voile sur l`agenda caché du directeur général du Groupe Sifca, Jean-Louis Billon. Dans son édition n°1750 du mercredi 25 février 2009, votre quotidien préféré a révélé que l`entourage de Jean-Louis Billon, par ailleurs président de la Chambre de Commerce de d`industrie de Côte d`Ivoire, l`annonce à la présidentielle de 2009, en Côte d`Ivoire. Trois jours seulement après, cette révélation, une source diplomatique, proche de ce dossier donne la confirmation.
Même si le concerné n`a pas encore jugé opportun de déclarer, officiellement, qu`il est prétendant à la course au pouvoir dans son pays, il n`en demeure pas moins que l`homme fait l`objet de beaucoup de convoitise en ce moment. Selon notre source, Jean-Louis Billon est perçu par certaines chancelleries étrangères, notamment européennes et américaines comme le candidat qui pourrait suppléer aux deux gros candidats de l`opposition. A savoir : Allassane Dramane Ouattara et Henri Konan Bédié. " Les tractations souterraines vont bons train. En ce sens que les chancelleries, par mission interposées, lui font miroiter un certain nombre de choses. Pour l`avantage qu`il a d`être métisse ", selon notre interlocuteur. Oubliant que les réalités d`ailleurs ne sont pas forcément les mêmes qu`en Afrique. Un continent dans lequel chaque acteur politique essaie autant que faire se peut, de garder jalousement ses acquis électoraux, en cherchant à passer des alliances pour avancer sur le chemin de la victoire. Et en la matière, on ne connait pas le nouveau poulain de l`hexagone comme un dur à même de faire basculer un grand nombre de son parti politique, le Pdci-Rda.
Au sein duquel d`ailleurs, il a maille à partir avec le président Konan Bédié. Le chef du vieux parti ivoirien, selon toujours notre source, reprocherait au géniteur de Jean-Louis, de n`avoir pas été suffisamment fidèle au Pdci, qui lui aurait tout donné. Un vieux différend dont le fils Billon fait les frais aujourd`hui. Il y a aussi le cas des Ouattara. Le couple " républicain " ne digère pas la concurrence qu`un membre de la famille du futur probable candidat à la présidentielle en Côte d`Ivoire, mène à son épouse, Dominique Ouattara, à travers sa structure qui a la même raison sociale que celle de dame Ouattara. Et dire que c`est son fils qui est préféré par les anciens soutiens d`Alassane Dramane Ouattara, président du Rdr et candidat déclaré, pour le remplacer. En plus de ces deux adversaires, l`homme n`est pas non plus en odeur de sainteté avec le secrétaire général des Forces nouvelles (Fn). Rancunier, Jean-Louis Billon, à en croire à notre informateur, a refusé de céder une de ses résidences à Guillaume Soro, qui en a exprimé le besoin, pour y vivre à Abidjan, en tant que Premier ministre. Parce qu`il n`a pas encore oublié le lourd tribu qu`il a payé de la crise. Il ne s`est donc pas empêché de rappeler à Guillaume Soro que ses hommes ont détruit son ranch de Katiola, lorsque ses combattants ont pris la ville. Visiblement, les choses s`annoncent périlleuses sur le terrain, pour le nouveau poulain des chancelleries européennes et américaines. Qui doivent dorénavant ouvrir l`œil pour observer la vie politique ivoirienne et ses implications, avant de s`engager dans un soutien qui n`aboutira pas.
Frimo Koukou Djipro
koukoudf@yahoo.fr
