Le retour effectif de l’Agence française de coopération (AFD) s’est concrétisé, le vendredi dernier, au 20è étage de l’immeuble Sciam, par la signature d’une convention de financement entre l’Etat de Côte d’Ivoire et cette structure d’appui. Le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Koffi Diby, représentait la partie ivoirienne, et Madame la secrétaire d’Etat au Commerce extérieure, Anne Marie Idrac, la partie française. D’un montant de 750.000 euros (soit environ 492 millions FCFA), cette subvention permettra la mise en place d’un fonds d’études et de renforcement des capacités (FERC) axé principalement sur la reconstitution d’une enveloppe à l’effet de financer des études et préparer de nouveaux projets, et à financer la préparation des politiques et stratégies publiques.
Pour le ministre de l’Economie et des Finances, cette convention marque la mise en place progressive des instruments de la coopération financière ivoiro-française. “Ce constat traduit l’excellence des relations au plan politique entre nos deux pays. La reprise économique à un rythme soutenu constitue pour le gouvernement ivoirien un impératif en vue de faire face à la pauvreté aggravée par plus de six années de crise socio-politique. C’est pourquoi je voudrais souhaiter que la reprise de la coopération accompagne les attentes de tous les acteurs publics et privés, pour une reprise économique soutenue, créatrice du bien-être social”, a-t-il déclaré.
Faisant chorus avec lui, Mme Idrac a salué “la reprise effective de la coopération française qui marque un nouveau départ, une nouvelle page de l’histoire qui s’ouvre de nouveau et qui accompagne le processus de sortie de crise”. Elle a promis le concours de la France en ce qui concerne l’initiative PPTE.
J-S Lia
Pour le ministre de l’Economie et des Finances, cette convention marque la mise en place progressive des instruments de la coopération financière ivoiro-française. “Ce constat traduit l’excellence des relations au plan politique entre nos deux pays. La reprise économique à un rythme soutenu constitue pour le gouvernement ivoirien un impératif en vue de faire face à la pauvreté aggravée par plus de six années de crise socio-politique. C’est pourquoi je voudrais souhaiter que la reprise de la coopération accompagne les attentes de tous les acteurs publics et privés, pour une reprise économique soutenue, créatrice du bien-être social”, a-t-il déclaré.
Faisant chorus avec lui, Mme Idrac a salué “la reprise effective de la coopération française qui marque un nouveau départ, une nouvelle page de l’histoire qui s’ouvre de nouveau et qui accompagne le processus de sortie de crise”. Elle a promis le concours de la France en ce qui concerne l’initiative PPTE.
J-S Lia
