La place Inch’Allah de Koumassi a accueilli le samedi dernier, une conférence publique sur le thème : “Il a profité de l’occasion pour exposer sur le thème suivant : «Vivre ensemble dans le pardon». Selon l’animateur principal, le professeur Augustin Diby, parler de société, implique une vie communautaire. Ainsi, pour vivre dans cette société, il existe un préalable que l’on doit rechercher et en comprendre le fonctionnement avant de faire recours à la diversité. Ce préalable étant l’unité qui, selon lui, est la première loi de toute existence. Il a indiqué que l’autre est un «moi», c'est-à-dire une autre conscience qui est à la fois «semblant et différent de moi». Dans cette perspective philosophique, l’idée de distanciation qui pourrait exister entre nous et l’autre est sans considération. Aussi, en le visant en bien ou en mal, nous nous visons nous-mêmes.
Pour le professeur, l’existence doit être soucieuse de l’autre car l’homme perd son sens lorsqu’il oublie cette théorie. «Etre homme, c’est avoir un autre dans sa peau», a-t-il souligné avant d’indiquer que lorsque le tissu social vient à se déchirer c’est le pardon qui vole au secours pour le consolider. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il a exhorté tout le monde à cultiver l’amour, l’humilité et le pardon. Mamadou Touré, président de l’université des temps libres (UTL) et ses collaborateurs ont organisé samedi, une journée de libre échange à la place publique de Koumassi (IN’CHALLA). Comme l’a indiqué son président, l’université des temps libres est un cadre de réflexion permanente et de discussion sur les sujets d’ordre politique afin de permettre aux différents leaders politiques d’éviter les dérapages et de comprendre les différentes préoccupations de leurs populations. Elle se veut à cet effet, un porte-parole auprès des populations. Selon son président, le contexte de naissance de l’université des temps libres est lié au fait que les autres structures déjà existantes sont pour la cause de certains leaders politiques. Pour lui, elles ont failli à leurs missions ; car l’objectif assigné aux parlements et agoras est d’éclairer simplement les populations sur les réalités politiques sans les contraindre à suivre un leader quelconque. A l’en croire, il faut simplement enseigner et laisser le libre arbitre agir en chacun parce que la vérité doit s’imposer à chaque conscience. Il a profité de la circonstance pour remercier le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, M.Cissé Bacongo qui ne ménage aucun effort pour le parrainage des différentes activités de l’université des temps libres.
Cissé Moussafa stagiaire
Pour le professeur, l’existence doit être soucieuse de l’autre car l’homme perd son sens lorsqu’il oublie cette théorie. «Etre homme, c’est avoir un autre dans sa peau», a-t-il souligné avant d’indiquer que lorsque le tissu social vient à se déchirer c’est le pardon qui vole au secours pour le consolider. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il a exhorté tout le monde à cultiver l’amour, l’humilité et le pardon. Mamadou Touré, président de l’université des temps libres (UTL) et ses collaborateurs ont organisé samedi, une journée de libre échange à la place publique de Koumassi (IN’CHALLA). Comme l’a indiqué son président, l’université des temps libres est un cadre de réflexion permanente et de discussion sur les sujets d’ordre politique afin de permettre aux différents leaders politiques d’éviter les dérapages et de comprendre les différentes préoccupations de leurs populations. Elle se veut à cet effet, un porte-parole auprès des populations. Selon son président, le contexte de naissance de l’université des temps libres est lié au fait que les autres structures déjà existantes sont pour la cause de certains leaders politiques. Pour lui, elles ont failli à leurs missions ; car l’objectif assigné aux parlements et agoras est d’éclairer simplement les populations sur les réalités politiques sans les contraindre à suivre un leader quelconque. A l’en croire, il faut simplement enseigner et laisser le libre arbitre agir en chacun parce que la vérité doit s’imposer à chaque conscience. Il a profité de la circonstance pour remercier le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, M.Cissé Bacongo qui ne ménage aucun effort pour le parrainage des différentes activités de l’université des temps libres.
Cissé Moussafa stagiaire