Est-ce un signe indien? En tout cas, beaucoup de personnes se demandent qui est, ou qui peuvent bien être ces pyromanes qui mettent le feu aux Institutions de la République. Le samedi 14 février dernier, jour dit-on, de la fête des Amoureux, un incendie dont on ne connaît toujours pas encore les auteurs, a totalement ravagé le bureau du président de l’Assemblée nationale, le cœur de la législation ivoirienne. Les cicatrices de cette douleur se sont à peine renfermées que les Ivoiriens sont surpris d’apprendre que le ministère de la Défense, le cœur même de la sécurité de notre pays est en feu. Et chose curieuse, cet autre incendie s’est déclaré encore un …samedi. Simple coïncidence ou acte prémédité savamment orchestré par des quidams qui n’ont décidé de brûler la République que les week end, c’est-à-dire au moment les tout le monde a ‘’baissé la garde’’? Nul ne le sait. Ce que les uns et les autres savent en retour, c’est que le bâtiment qui a pris feu samedi dernier, est la direction des concours de l’armée nationale. C’est-à-dire, que cet incendie a ‘’mis fin’’ aux concours d’entrée à l’EMPT, à l‘Ecole nationale des sous-officiers d’active (ENSOA) autrefois basée à Bouaké, et délocalisée à Daoukro et à tous les autres concours organisés par le département ministériel dirigé par Amani N’Guessan. Car comme l’a dit si bien le Directeur de la Défense, le Colonel Lamoussa Koné, ce sont plus de 40 ans d’archives qui sont partis en fumée. C’est tout dire.
Mais l’on peut pousser la réflexion plus loin et se poser la question de savoir pourquoi, c’est sous la Refondation que tout brûle? En effet, sous ce pouvoir, il y a comme un amour entre le feu et les Ivoiriens. Tout part en fumée : Les marchés (de Gagnoa, d’Abengourou, de Treichville, de Belleville dans la commune d’Abobo) le Trésor public, le ministère de la Justice. Lorsqu’on ajoute à cette longue liste les deux derniers incendies à savoir l’Assemblée nationale et le ministère de la Défense, on se rend bien compte que nous sommes sous un régime de…feu. Au sens propre et figuré de l’expression, bien entendu. Tout part tellement en flammes sous le règne des Refondateurs, que l’on se demande ce que veulent cacher ces derniers. Le pouvoir ayant habitué les Ivoiriens aux incendies, ils attendent alors le prochain bâtiment que les pyromanes ou leurs commanditaires ont décidé de brûler.
YMA
Mais l’on peut pousser la réflexion plus loin et se poser la question de savoir pourquoi, c’est sous la Refondation que tout brûle? En effet, sous ce pouvoir, il y a comme un amour entre le feu et les Ivoiriens. Tout part en fumée : Les marchés (de Gagnoa, d’Abengourou, de Treichville, de Belleville dans la commune d’Abobo) le Trésor public, le ministère de la Justice. Lorsqu’on ajoute à cette longue liste les deux derniers incendies à savoir l’Assemblée nationale et le ministère de la Défense, on se rend bien compte que nous sommes sous un régime de…feu. Au sens propre et figuré de l’expression, bien entendu. Tout part tellement en flammes sous le règne des Refondateurs, que l’on se demande ce que veulent cacher ces derniers. Le pouvoir ayant habitué les Ivoiriens aux incendies, ils attendent alors le prochain bâtiment que les pyromanes ou leurs commanditaires ont décidé de brûler.
YMA