Mme Dominique Ouattara, présidente fondatrice de l’ONG Children of Africa a parrainé, le samedi 14 mars, la 7ème étape de la campagne de vaccination de sa Fondation à Adjouffou dans la commune de Port-Bouët.
La fête fut belle ! La 7ème étape de la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde de la Fondation Children of Africa de Mme Dominique Ouattara, le samedi 14 Mars, a eu comme particularité de réunir à la fois le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Cissé Ibrahima Bacongo et Mme Hortense Aka Anghui, maire de la commune de Port-Bouët. A cette occasion, Mme Dominique Ouattara a délivré depuis Adjouffou un message d’espoir et de courage à l’ensemble des populations locales. La Dame au grand cœur a fait, au cours de son allocution, le constat amer du retour au galop de la fièvre typhoïde dans les quartiers défavorisés du district d’Abidjan. Ce retour, selon elle, est à mettre au compte du développement de l’insalubrité dans l’ensemble des quartiers d’Abidjan. Aussi, a-t-elle tiré la sonnette d’alarme devant ce problème qui gagne depuis quelques années en ampleur dans les différents quartiers de la ville. Selon elle la croissance des ordures ménagères dans ces collectivités locales constitue un danger permanent pour les populations et mais surtout pour les enfants. « (…) la fièvre typhoïde est devenu un véritable fléau en Côte d’Ivoire. Cette affection connaît un retour en force du fait de l’insalubrité croissante qui sévit dans les différentes communes d’Abidjan. Les ordures ménagères qui s’amoncellent à chaque coin de rues constituent un véritable danger pour les populations des quartiers défavorisés et plus particulièrement les enfants » a-t-elle soutenu. A ce tableau peu reluisant s’ajoute, selon Mme Ouattara la paupérisation des couches sociales. Ainsi, la mère des enfants démunis d’Afrique n’a pris de gant pour fustiger l’état de paupérisation des populations. Chiffres à l’appui, la présidente fondatrice de l’ONG Children of Africa a indiqué « qu’en 2009, la pauvreté en Côte d’Ivoire a atteint un seuil critique de 60 % ». Enfonçant le clou, a-t-elle souligné que plus d’un ivoirien sur deux vit avec moins de 600 F CFA. « La Côte d’Ivoire, selon elle, fait partie, aujourd’hui, des pays les plus pauvres et cela se ressent dans les foyers et le cadre de vie des populations. De plus en plus d’Ivoiriens vivent avec moins d’un repas par jour ». Ce tableau délétère est, selon Mme Ouattara, le facteur dynamisant qui l’a amené à se mettre au service des populations démunies et partant des enfants. Et ce, parce que les enfants constituent l’espoir d’un avenir meilleur. « C’est pourquoi nous avons décidé de nous mettre au service des populations démunies et particulièrement des enfants, car nos espoirs reposent sur eux. Ils sont notre avenir. C’est le sens de notre combat », a-t-elle soutenu. Profitant de cette tribune, Mme Dominique Ouattara a, par ailleurs révélé que le Bibliobus sera à la fin du mois dans la commune de Port-Bouët.
Hortense Aka Anghui, maire de la commune de Port-Bouët a salué cette initiative de Mme Dominique Ouattara. En ce sens qu’elle s’inscrit dans la droite ligne de sa politique de santé publique. « Vous avez décidé de faire une campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde, pour les touts petits. Le maire que je suis a essayé de mettre au dessus de sa politique sociale la recherche de la santé pour tous, qui passe par la vaccination des tous petits (…) Vous avez compris que plus que les discours il faut essayer de se mettre au travail. Et dans cette action voilà que vous arrivez comme une fée pour me dire, Mme le maire, vous n’êtes pas seule » a révélé Mme Aka Anghui. Avant d’appeler les bénédictions de Dieu sur la présidente fondatrice de la Fondation Children of Africa afin que cette dernière puisse continuer sa mission salvatrice.
Gontô Raphaël, porte-parole des populations d’Adjouffou, a quant à lui, exprimé les craintes des habitants de son quartier. Ainsi, pour ce dernier il ne suffit pas de vacciner des populations et des enfants contre cette affection si rien n’est fait pour améliorer le cadre de vie des populations. Aussi, a-t-il souhaité de tout son cœur que des mesures adéquates soient prises afin d’améliorer les trains de vie des populations.
Dr Traoré Lassiné au nom de l’équipe médical de la Fondation s’est quant à lui apesanti sur les modes de transmission de cette affection. Il a par ailleurs insisté sur les mesures d’hygiène afin de permettre aux populations d’éviter la fièvre typhoïde.
Service de communication de la Fondation Children of Africa
La fête fut belle ! La 7ème étape de la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde de la Fondation Children of Africa de Mme Dominique Ouattara, le samedi 14 Mars, a eu comme particularité de réunir à la fois le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Cissé Ibrahima Bacongo et Mme Hortense Aka Anghui, maire de la commune de Port-Bouët. A cette occasion, Mme Dominique Ouattara a délivré depuis Adjouffou un message d’espoir et de courage à l’ensemble des populations locales. La Dame au grand cœur a fait, au cours de son allocution, le constat amer du retour au galop de la fièvre typhoïde dans les quartiers défavorisés du district d’Abidjan. Ce retour, selon elle, est à mettre au compte du développement de l’insalubrité dans l’ensemble des quartiers d’Abidjan. Aussi, a-t-elle tiré la sonnette d’alarme devant ce problème qui gagne depuis quelques années en ampleur dans les différents quartiers de la ville. Selon elle la croissance des ordures ménagères dans ces collectivités locales constitue un danger permanent pour les populations et mais surtout pour les enfants. « (…) la fièvre typhoïde est devenu un véritable fléau en Côte d’Ivoire. Cette affection connaît un retour en force du fait de l’insalubrité croissante qui sévit dans les différentes communes d’Abidjan. Les ordures ménagères qui s’amoncellent à chaque coin de rues constituent un véritable danger pour les populations des quartiers défavorisés et plus particulièrement les enfants » a-t-elle soutenu. A ce tableau peu reluisant s’ajoute, selon Mme Ouattara la paupérisation des couches sociales. Ainsi, la mère des enfants démunis d’Afrique n’a pris de gant pour fustiger l’état de paupérisation des populations. Chiffres à l’appui, la présidente fondatrice de l’ONG Children of Africa a indiqué « qu’en 2009, la pauvreté en Côte d’Ivoire a atteint un seuil critique de 60 % ». Enfonçant le clou, a-t-elle souligné que plus d’un ivoirien sur deux vit avec moins de 600 F CFA. « La Côte d’Ivoire, selon elle, fait partie, aujourd’hui, des pays les plus pauvres et cela se ressent dans les foyers et le cadre de vie des populations. De plus en plus d’Ivoiriens vivent avec moins d’un repas par jour ». Ce tableau délétère est, selon Mme Ouattara, le facteur dynamisant qui l’a amené à se mettre au service des populations démunies et partant des enfants. Et ce, parce que les enfants constituent l’espoir d’un avenir meilleur. « C’est pourquoi nous avons décidé de nous mettre au service des populations démunies et particulièrement des enfants, car nos espoirs reposent sur eux. Ils sont notre avenir. C’est le sens de notre combat », a-t-elle soutenu. Profitant de cette tribune, Mme Dominique Ouattara a, par ailleurs révélé que le Bibliobus sera à la fin du mois dans la commune de Port-Bouët.
Hortense Aka Anghui, maire de la commune de Port-Bouët a salué cette initiative de Mme Dominique Ouattara. En ce sens qu’elle s’inscrit dans la droite ligne de sa politique de santé publique. « Vous avez décidé de faire une campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde, pour les touts petits. Le maire que je suis a essayé de mettre au dessus de sa politique sociale la recherche de la santé pour tous, qui passe par la vaccination des tous petits (…) Vous avez compris que plus que les discours il faut essayer de se mettre au travail. Et dans cette action voilà que vous arrivez comme une fée pour me dire, Mme le maire, vous n’êtes pas seule » a révélé Mme Aka Anghui. Avant d’appeler les bénédictions de Dieu sur la présidente fondatrice de la Fondation Children of Africa afin que cette dernière puisse continuer sa mission salvatrice.
Gontô Raphaël, porte-parole des populations d’Adjouffou, a quant à lui, exprimé les craintes des habitants de son quartier. Ainsi, pour ce dernier il ne suffit pas de vacciner des populations et des enfants contre cette affection si rien n’est fait pour améliorer le cadre de vie des populations. Aussi, a-t-il souhaité de tout son cœur que des mesures adéquates soient prises afin d’améliorer les trains de vie des populations.
Dr Traoré Lassiné au nom de l’équipe médical de la Fondation s’est quant à lui apesanti sur les modes de transmission de cette affection. Il a par ailleurs insisté sur les mesures d’hygiène afin de permettre aux populations d’éviter la fièvre typhoïde.
Service de communication de la Fondation Children of Africa