Sous le haut patronage du Chef de l’Etat, la tombe rénovée de l’artiste, disparu en 1996, sera inaugurée à Lakota.
Mercredi prochain, il sera procédé à la remise officielle du mausolée érigé à Lakota, en hommage à l’artiste musicien François Lougah, décédé le 21 décembre 1996.
En effet, après son inhumation en mars 1997, la tombe de celui que les mélomanes appelaient affectueusement «Papa national», est tombée dans un délabrement, quelques années après. Offrant un spectacle désolant à l’entrée de Lakota, sa ville natale, avec les broussailles envahissantes.
Grâce au concours du directeur général du Port autonome de San Pedro (Pasp), M. Désiré Dallo, le Bureau ivoirien du Droit d’auteur (Burida) et un opérateur de téléphonie mobile, un mausolée à la dimension du talent de feu François Lougah vient d’être érigé par l’architecte Koné Yoha.
Vendredi dernier, à l’occasion d’une conférence de presse, au Novotel, pour annoncer l’inauguration de ce monument réhabilitant l’artiste, son ex-épouse et sa fille aînée, Caroline, ont tenu à remercier la nation ivoirienne pour cette marque affective à l’égard de François Lougah, treize années après sa disparition.
Cette cérémonie est placée sous le haut patronage et la présence effective du Chef de l’Etat, le Président Laurent Gbagbo, et attend un millier de personnes.
Décrivant un gouvernail, allusion faite à son premier succès dans lequel il chantait son départ à l’aventure, «seul sur un bateau» et à l’initiative du Pasp, le mausolée en forme de quadrilatère de 11x11m (référence faite à ses 11 albums officiels), est surmonté d’une statue à l’effigie du chanteur.
Le Conseil général de Lakota s’est engagé à assurer l’entretien et la maintenance de ce joyau architectural qui se présente désormais comme une marque distinctive du département.
Après cette inauguration, le 28 mars, au dire de M. Armand Obou, administrateur du Burida, une cérémonie de présentation de la réédition des meilleurs opus de l’artiste sera organisée. Mieux, avec Caroline Lougah, première ayant droit, sur les 5 enfants du défunt, un modus vivendi sera dégagé aux fins qu’elle puisse, en plus des droits perçus au Burida, bénéficier de ceux générés en Europe, en France, en l’occurrence.
Rémi Coulibaly
Mercredi prochain, il sera procédé à la remise officielle du mausolée érigé à Lakota, en hommage à l’artiste musicien François Lougah, décédé le 21 décembre 1996.
En effet, après son inhumation en mars 1997, la tombe de celui que les mélomanes appelaient affectueusement «Papa national», est tombée dans un délabrement, quelques années après. Offrant un spectacle désolant à l’entrée de Lakota, sa ville natale, avec les broussailles envahissantes.
Grâce au concours du directeur général du Port autonome de San Pedro (Pasp), M. Désiré Dallo, le Bureau ivoirien du Droit d’auteur (Burida) et un opérateur de téléphonie mobile, un mausolée à la dimension du talent de feu François Lougah vient d’être érigé par l’architecte Koné Yoha.
Vendredi dernier, à l’occasion d’une conférence de presse, au Novotel, pour annoncer l’inauguration de ce monument réhabilitant l’artiste, son ex-épouse et sa fille aînée, Caroline, ont tenu à remercier la nation ivoirienne pour cette marque affective à l’égard de François Lougah, treize années après sa disparition.
Cette cérémonie est placée sous le haut patronage et la présence effective du Chef de l’Etat, le Président Laurent Gbagbo, et attend un millier de personnes.
Décrivant un gouvernail, allusion faite à son premier succès dans lequel il chantait son départ à l’aventure, «seul sur un bateau» et à l’initiative du Pasp, le mausolée en forme de quadrilatère de 11x11m (référence faite à ses 11 albums officiels), est surmonté d’une statue à l’effigie du chanteur.
Le Conseil général de Lakota s’est engagé à assurer l’entretien et la maintenance de ce joyau architectural qui se présente désormais comme une marque distinctive du département.
Après cette inauguration, le 28 mars, au dire de M. Armand Obou, administrateur du Burida, une cérémonie de présentation de la réédition des meilleurs opus de l’artiste sera organisée. Mieux, avec Caroline Lougah, première ayant droit, sur les 5 enfants du défunt, un modus vivendi sera dégagé aux fins qu’elle puisse, en plus des droits perçus au Burida, bénéficier de ceux générés en Europe, en France, en l’occurrence.
Rémi Coulibaly
